Dossier surfacturation des lampadaires et forages… Des tirs-croisés dirigés faussement sur Patrick Muyaya !

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Jamais dossier, mis à part celui lié au détournement des fonds des travaux des 100 premiers jours de FATSHI au pouvoir, n’a fait couler autant d’encre et de de salive, comme le fait le dossier des Forages et Lampadaires qui ont englouti 13 millions USD pour les lampadaires et 71 millions USD pour les forages.

Montants payés rubis sur ongles en mode d’urgence, au bénéfice de Mike Kasenga, accuse la Société civile.
Les faits sont d’une telle gravité que l’opposition, se fiant aux dernières révélations qui parlent de la surfacturation pour un lampadaire à 5mille dollars et un forage à 297 mille dollars, en a fait ses choux gras, demandant que le ministre des Finances démissionne et que la justice cherche à y voir clair. Katumbi et Fayulu ont enfourché la trompette pour vilipender le régime de Tshisekedi qu’ils n’ont jamais cessé de combattre, dépuis ses premières heures.

Patrick Muyaya faussement mis en cause… !

La Société civile, elle, dénonce sans preuves, la complicité de Patrick Muyaya, le ministre de la Communication et des Médias qui, selon elle, par affinités tribales, est décidé de voler au secours de son frère Nicolas Kazadi. Tout simplement ridicule.
Dans cette dynamique de vouloir nuire à la réputation de Patrick Muyaya, en ce moment où les nouvelles cartes politiques sont entrain d’être redistribuées au pays, il se raconte sur les réseaux sociaux, que cet après-midi de mardi, le ministre de la Communication et des Médias voulait organiser un briefing de presse, pour défendre Nicolas Kazadi et le sortir de ce dossier où sa responsabilité est totalement engagée.
Le côté comique dans cette démarche, ce que les pourfendeur de Nicolas Kazadi qui cherchent des poux sur la tête de Muyaya gratuitement, insinuent que ce dernier aurait encaissé plus de 100 000 USD pour organiser ledit briefing de presse.
Les proches du ministre de la Communication et des Médias rient sous cape en apprenant ces inepties qui ne cadrent nullement avec le cahier des charges du programme Briefing de Presse qui n’a jamais reposé sur des intérêts financiers mais sur le professionnalisme.
Comme on peut le voir, il s’agit d’un pétard mouillé qui est passé à côté de la cible.

Le Journal