PNHF : Mbungani accusé faussement d’avoir détourné 31 millions de dollars

0
123

Sa réputation a été trainée dans la boue. Le ministre de la Santé publique, hygiène et prévention, Jean-Jacques Mbungani est lynché inutilement dans la presse. Des esprits méchants l’accusent de ponctionner dans les frais de la PNHP. Ce qui est faux sur toute la ligne. Dautres parlent même d’un scandaleux détournement de 31 millions de dollars. Montage grossier.

A bien scruter, il ne s’agit que de la médisance de ceux qui se trompent encore d’époque ou pensent que le brillant docteur bruxellois joue sur le même terrain que ses prédécesseurs. Mbungani prêche une gestion saine. La preuve, c’est l’embellie aujourd’hui, c’est le retour des partenaires alors qu’ils avaient presque suspendu la coopération dans le secteur de la santé avec le gouvernement congolais à cause de la mauvaise gestion mise à la disposition de l’État congolais.

Dans une mise au point faite par son cabinet le mercredi 01 juin 2022, il est clairement rappelé que l’actuel ministre de la Santé publique, hygiène et prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani est arrivé aux affaires en avril 2021, une année après l’institution de la taxe évoquée par quelques médias. En plus, les frais de prestations 4D n’ont jamais atteint ce montant de 31 millions de dollars. Et d’ailleurs, ce ne sont pas les agents du PNHF, ni du cabinet du ministre de la Santé qui perçoivent cet argent, toute la perception étant bancarisée. Les autres services publics de l’Etat aux frontières peuvent le témoigner. Pour besoin de transparence de sa gestion, l’actuel ministre de la Santé publique avait, dès son entrée en fonction, invité, le 29 avril 2021, l’Inspecteur général des finances, pour diligenter une mission d’audit sur la gestion financière des différents programmes sous sa tutelle. Un argument de taille qui démontre que Mbungani est l’antithèse du passé.

    « La mission d’audit de l’IGF au PNHF n’a pas encore rendu ses conclusions. Dans sa gouvernance, le ministre de la Santé publique, hygiène et prévention ne transige jamais avec la compromission et la gabegie financière. Il n’a jamais été accusé personnellement au sujet d’un prétendu détournement ou malversation financière auprès d’aucune instance judiciaire ou de contrôle financier du pays », rappelle, a haute voix, son cabinet.

 Mise au point en rapport avec les pamphlets publiés par les organes de presse : Le Baromètreonline.com et le journal Le Centriste, contre Son Excellence monsieur le ministre de la Santé publique, Hygiène et prévention, Dr Jean-Jacques MBUNGANI.

 Par leurs articles parus à la Une du journal Le Centriste, édition n°417 du 31 mai 2022, et le site Le Barometreonline.com, à la même date, sous les titres :

     Le Centriste : «Détournement de 31 millions USD au PNHF : Mbungani et Ndungi Ndungi trempés jusqu’au cou» ;

    LeBarometreonline.com : «Santé/PNHF : le duo Jean Jacques Mbungani –Dhédhé Ndungi- Ndungi au cœur d’un scandale de 31 millions Usd !».

    En effet, ces médias, avec des commentaires identiques, orientés, tendancieux, mensongers et diffamatoires affirment sans la moindre preuve nécessaire que son Excellence Monsieur le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, en complicité avec le Directeur du Programme National de l’Hygiène aux Frontières (PNHF), seraient à la base d’un « détournement » de 31 millions de dollars américains. Des sommes d’argent qui seraient perçues sur base des frais de prestations 4D, institués depuis 2020 par le ministère de la Santé.

 Sans revenir sur les détails des toutes les allégations diffamatoires de ces deux médias, l’opinion tant nationale qu’internationale, retiendra ce qui suit :

     Que l’actuel ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques MBUNGANI est arrivé aux affaires en avril 2021, une année après l’institution de la taxe évoquée par lesdits médias ;

    Que les frais de prestations 4D n’ont jamais atteint ce montant de 31 millions de dollars ;

    Que ce ne sont pas les agents du PNHF, ni du cabinet du ministre de la Santé qui perçoivent cet argent, toute la perception étant bancarisée. Les autres services publics de l’Etat aux frontières peuvent le témoigner.

    Que pour besoin de transparence de sa gestion, c’est l’actuel Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques MBUNGANI qui avait, dès son entrée en fonction, invité, en date du 29 avril 2021, l’Inspecteur Général des Finances, en vue de solliciter de celui-ci, de diligenter une mission pour auditer la gestion financière des différents programmes sous sa tutelle ;

    Que la mission d’audit de l’IGF au PNHF n’a pas encore rendu ses conclusions ;

    Que dans sa gouvernance, le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention ne transige jamais avec la compromission et la gabegie financière ;

    Que contrairement aux pamphlets publiés par ces médias, l’actuel Ministre de la Santé n’a jamais été accusé personnellement au sujet d’un prétendu détournement ou d’une malversation financière auprès d’aucune instance judiciaire ou de contrôle financier du pays;

    Qu’en tant que ministre de la Santé, Son Excellence Jean-Jacques MBUNGANI ne traite pas directement avec les subalternes sans passer par leur hiérarchie administrative ;

    Que grâce à sa bonne réputation, notamment dans la gestion financière, Son Excellence Monsieur le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention venait d’être élu administrateur titulaire du Fonds Mondial pour la région de l’Afrique Centrale et de l’Ouest ;

    Que grâce qu’à la nouvelle gouvernance impulsée par l’actuel ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani, le secteur de la Santé de la RDC est en train de connaître une évolution très positive (les réformes nécessaires déjà opérées, l’alignement de 4 mille médecins et 12 mille pro-santé dans un temps record, et le processus se poursuit, le renouvellement de la confiance des partenaires techniques et financiers du ministère, la construction des centres de santé et modernisation de certains hôpitaux généraux de référence, remise des médicaments, équipements, matériels médicaux et engins roulants à travers le pays…), tout ceci constitue une preuve éloquente du changement incontestable voulu par les prestataires du secteur ;

    Qu’à ce jour, il n’y a aucun désordre au sein du ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention ;

    Que Son Excellence Monsieur le Ministre de la Santé a toujours respecté le travail des journalistes professionnels ;

    Que cette mise au point vaut un droit de réponse qui doit être publié conformément aux articles 67, 68 et 69 de la Loi organique N°96 -002 du 22 Juin 1996 fixant les modalités de l’exercice de la liberté de presse en RDC ;

    Que pour redorer son image de marque que les deux médias (journalistes) ont tenté malignement et volontairement de ternir, son Excellence Monsieur le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques MBUNGANI, se verra dans l’obligation de recourir auprès des Instances compétentes.

Fait à Kinshasa, le 31 mai 2022

Cellule de communication