L’expert Mupepele plaide pour sa reconnaissance et du comité du CEEC

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Ayant assisté à l’inauguration du nouveau laboratoire ultra moderne du Centre d’Expertise, d’Évaluation et de Certification des substances minérales précieuses et semi-précieuses (CEEC), l’expert minier et ancien Directeur Général de cet établissement public, Léonnide Mupepele apprécie à sa juste valeur, ce joyau équipé des appareils de dernière génération pour la préparation des échantillons et l’analyse.

Ce qui permettra dorénavant la République démocratique du Congo de détecter les sous-produits contenus dans les métaux majeurs, d’en évaluer la valeur réelle, et d’augmenter les recettes de ce secteur. C’est un gage de transparence.
C’est un laboratoire dont le fonctionnement tient compte des normes environnementales.
Il a, dans la foulée, évoqué sa satisfaction du fait que la question de l’évaluation des sous-produits miniers soulevée à son époque devient enfin une réalité, grâce à ce laboratoire évalué à des millions de dollars américains.
Répondant à la question de savoir si en sa qualité d’ancien haut responsable de la boîte, il connaissant ce qu’il fallait pour le fonctionnement optimal de cet établissement, dont il se montre satisfait de l’inauguration, Mupepele a confié qu’il est fier comme il l’a dit à l’équipe managériale du CEEC. Parce qu’en 2008, lorsque il est arrivé au Katanga pour implanter le CEEC dans le cœur de la filière cuivre-cobalt, son rêve était évidemment de doter le Katanga d’un laboratoire de ce niveau. Il avait commencé le travail y afférent. Mais malheureusement, les politiques en avaient décidé autrement. Aujourd’hui, il s’apercoit que la graine qu’il a semée a germé et poussé en donnant le fruit qu’est ce laboratoire. Raison pour laquelle, il se dit comblé et fier que ceux qu’il a laissés là-bas, l’ont réalisé.
Qu’est-ce que ce laboratoire va apporter pour la RDC ?
À cette préoccupation,il commence par donner une petite description pour les experts ou les professionnels du domaine, en laissant entendre qu’il y a d’abord dedans, un laboratoire d’analyses, deux spectomètres d’émission qui ont une très grande précision et sont des appareils extrêmement perforants, pouvant analyser jusqu’au dixième du PPM. Donc, ils peuvent donner les teneurs qui sont exprimées en termes de trace et l’ultrace. Les métaux précieux et rares qui accompagnent les métaux majeurs, de cobalt et de cuivre, en l’occurrence, ces métaux mineurs sont généralement et représentent en trace faibles teneurs nécessitant des appareils performants de ce type pour pouvoir les détecter.
Et Mupepele d’ajouter qu’en dehors de ces deux spectomètres d’émission types, il y a les spectomètres d’absorption atomique de la dernière génération. Dans la mesure où, celui qui était acheté à l’époque et était également d’absorption atomique. Dans le cas présent, c’est l’absorption atomique à flamme, peu importe ses détails, dit Mupepele comme pour souligner que c’est le dernier-né de cette série. Il y a également d’autres spectomètres de type à fluorescence qui sont des appareils de très grande précision, a-t-il noté en indiquant qu’en amont de tout cela, il a un certain nombre d’appareils qui permettent de préparer les échantillons dans des normes modernes avec la plus grande précision et la plus grande fiabilité. Il a avoué avoir admiré davantage le fait qu’il est aménagé un espace pour faire des analyses chimiques en se basant sur des anciennes méthodes. Des méthodes qui ont une très grande fiabilité ou qui permettent, à côté de ces analyses avec des appareils, des spectomètres, d’obtenir des résultats sur la base des analyses chimiques qui, eux, sont bons manuellement comme au bon vieux temps, avec la chimie analytique. Ça, c’est du côté des équipements. Pour ce que ces équipements peuvent faire, il sied de retenir qu’ils peuvent tout analyser. D’abord les produits d’exportation, que ce soit le cuivre en cathode ou le cobalt qui se présente généralement sous forme de produit fini, le cobalt qu’on exporte. Tous ces produits peuvent être analysés au niveau de ce laboratoire, les concentrer dans les filières avec précision et fiabilité dans ce laboratoire. L’expert ne s’arrête pas là et ajoute que même l’or peut aussi être analysé dans ce laboratoire en révélant que les produits qui viennent du chantier, donc les produits artisanaux ont été installés au cœur du centre de négoce pour que les artisanaux, qui généralement, sont plus ou moins à la merci des acheteurs qui, avec leurs analyses, les manipulent selon leurs intérêts.

Le Journal

ADRESSE DU DIRECTEUR GENERAL DU CEEC A LA CEREMONIE D’INAUGURATION DU LABORATOIRE INSTALLE AU CENTRE DE NEGOCE
DE MUSOMPO A KOLWEZI

Excellence Monsieur le Vice-Ministre des Mines,
Honorables Députés et Sénateurs ;
Excellence Madame la Vice-Gouverneur de la Province du Lualaba ;
Monsieur le Conseiller Principal du Chef de l’Etat en charge des Mines et des Hydrocarbures ;
Monsieur le Secrétaire Général des Mines ;
Honorables Députés provinciaux de la Province du Lualaba ;
Mesdames et Messieurs les membres du Gouvernement provincial du Lualaba;
Monsieur le Président du Conseil d’Administration du CEEC ;
Messieurs les Chefs de corps des services techniques du Ministère des Mines ;
Mesdames et messieurs, distingués invités, en vos titres et qualités respectifs ;

Permettez-moi à l’entame de mon adresse de ce jour de rendre un vibrant hommage à Son Excellence Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République, Chef de l’Etat. En effet, l’inauguration du laboratoire du CEEC à Musompo est une des retombées de la mise en œuvre de sa vision traduite dans le programme d’action du Gouvernement dirigé par Son Excellence Jean-Michel SAMA LUKONDE, Premier Ministre, Chef du Gouvernement.

Excellence Antoinette N’SAMBA KALAMBAY, Ministre des Mines, une circonstance indépendante de votre bonne volonté ne vous a pas permis de faire le déplacement de Kolwezi pour assister au lancement de ce projet qui vous a tant tenu à cœur. Tout en étant convaincu que vous me suivez présentement on line du lieu où vous êtes en convalescence, je tiens à vous dire que les mots ne sauront traduire toute la reconnaissance de la maison CEEC à votre égard.

Au demeurant, la présence en ce lieu d’Excellence Monsieur le Vice – Ministre, conforte davantage la volonté des organes de gestion et du personnel du CEEC de persévérer dans sa démarche, laquelle aboutira à l’installation sur toute l’étendue du territoire national des laboratoires dédiés à toutes les filières minières. La République y trouvera son compte notamment quant à la maximisation des recettes publiques issues du secteur minier.

Je m’en voudrai de ne pas faire mention de l’accompagnement que la Province du Lualaba, au travers de Son Excellence Madame la Vice-Gouverneur, Fifi MASUKA SAINI et de son Gouvernement, a assuré au CEEC en mettant à sa disposition, en plus du bâtiment dans lequel le laboratoire est incorporé, divers appuis administratifs et matériels afin de lui permettre de remplir les missions qui lui sont assignées par le Gouvernement.

Votre présence en ce lieu, conforte davantage la volonté des organes de gestion et du personnel du CEEC de persévérer dans sa démarche, laquelle aboutira à l’installation sur toute l’étendue du territoire national des laboratoires dédiés à toutes les filières minières. La République y trouvera son compte notamment quant à la maximisation des recettes publiques issues du secteur minier.

A vous tous, distingués invités, en vos titres et qualités respectifs, je vous remercie très sincèrement, car malgré vos agendas chargés, vous avez tous accepté de rehausser de votre présence ce moment qui, je suis convaincu, sera inscrit en lettres de noblesse dans les annelles de notre Etablissement public et, pourquoi pas, du secteur des Mines de la République Démocratique du Congo.

Excellence Monsieur le Vice-Ministre des Mines,
Mesdames et messieurs, distingués invités, en vos titres et qualités respectifs ;

A la suite du brillant exposé académique du Doyen de la Faculté Polytechnique de l’Université de Lubumbashi, j’interviens, à ce stade de la cérémonie, pour vous faire l’état des éléments qui constituent notre laboratoire de MUSOMPO ainsi que les effets à attendre de cet outil en termes d’appui au suivi des activités minières et, par voie de conséquence, à la maximisation des recettes publiques.

Avant de me livrer à cet exercice, j’ai estimé utile, en raison de la réforme de la législation minière intervenue en 2018, fixer les uns et les autres sur le statut du CEEC. En effet, les échanges que j’ai au quotidien sur le plan institutionnel ou dans le cadre de mes rapports avec divers partenaires et, même, avec le congolais lambda, m’ont amené à tirer la conclusion suivante : « Les uns et les autres n’ont pas le vrai entendement du statut et du rôle du CEEC, en tant qu’un des services publics de l’Etat chargés de l’administration du code minier ».

D’où la question suivante : c’est quoi le CEEC ?

Je dirais que si d’aucuns, en réminiscence, surement de l’Ex-Centre National d’Expertise, CNE en sigle, ont toujours lié le CEEC à l’encadrement de la commercialisation du diamant et de l’or issu de l’artisanat minier, car cette structure avait été créée en 1984 pour accompagner la politique de libéralisation de l’exploitation et de la commercialisation du diamant et de l’or issus de l’exploitation artisanale, d’autres, en revanche, se méprennent en assimilant le CEEC aux régies financières.

A la lumière des dispositions légales et règlementaires en vigueur, le CEEC va au-delà de l’encadrement de la commercialisation de l’or et du diamant. Il ne peut non plus être assimilé à une régie financière.

En revanche, distingués invités, l’on devrait retenir qu’à la faveur de la réforme de la législation minière de 2018 susmentionnée, le CEEC a été institué « AUTORITE DE CERTIFICATION » des substances minérales en République Démocratique du Congo.

A ce titre, il joue principalement un rôle à double dimension : Technique, d’une part, et juridique et administratif, d’autre part. Sur le plan technique, il a en charge la détermination de la nature physique et chimique des substances minérales. Et, sur le plan juridique et administratif, la détermination de l’origine légale et licite desdites substances minérales lui revient.
Notez que les substances minérales dont question sont actuellement classées en cinq (5) filières exploitées par les procédés industriels à grande échelle, à petite échelle ainsi que par ceux autorisés pour l’exploitation minière artisanale.

Il s’agit :

 de la filière diamant;
 de la filière or ;
 de la filière de la cassitérite et accompagnateurs;
 de la filière cupro-cobaltifère ;
 et de la filière pierres de couleur.

Actuellement, distingués invités, la filière des terres rares est en train d’être finalisée en termes de formalisation technique et administrative et, au regard de sa place quant au défi de la transition écologique, la réflexion est lancée pour l’encadrement de la filière du lithium.

Distingués invités,
La cérémonie de ce jour concerne la dimension technique et, j’y reviendrai, après un bref survol de la dimension « détermination de l’origine légale et licite des substances minérales ».

En effet, depuis deux (2) décennies l’expression «approvisionnement responsable » a été introduite dans le commerce international, particulièrement en ce qui concerne, les produits miniers et les ressources naturelles en général. Après un constat unanime au sein de la communauté internationale, lequel a conclu en l’existence du lien entre les conflits armés déstabilisant les régimes légitimes et le trafic illicite des substances minérales comme le diamant et l’or, sous l’impulsion de l’Organisation des Nations Unies, plusieurs normes de traçabilité, de certification et du devoir de diligence ont été adoptées, à charge pour les Etats concernés de les intégrer dans leurs législations nationales. Le Système de Certification du Processus de Kimberley, le Mécanisme Régional de Certification de la CIRGL, le Guide de l’OCDE prescrivant le devoir de diligence pour un approvisionnement responsable en minerais, les principes volontaires pour les droits de l’homme et sécurité dans les industries extractives, etc…., sont autant des mécanismes juridiques et opérationnels intégrés formellement dans notre législation.

Lors de la réforme de la législation minière intervenue en 2018, non seulement que les normes servant de substrat à ces différentes initiatives ont été intégrées dans le code et le règlement miniers, mais le CEEC a été chargé, par ailleurs, d’assurer le suivi de leur mise en œuvre. D’où les prérogatives d’«AUTORITE DE CERTIFICATION» dont question ci-dessus.

A ce titre, le CEEC a été responsabilisé notamment d’organiser, à l’exportation, les Bureaux de Traçabilité au sein duquel sont réunis tous les services publics intervenant à savoir, l’OCC, le Commissariat Général à l’Energie Atomique, l’Administration du Commerce Extérieur, l’Administration des Mines, les Régies financières des Provinces, le SEGUCE, l’OGEFREM ainsi que les banques agréées pour poser tous les actes préalables au dédouanement. C’est à niveau que toute la liasse documentaire liée au pré-dédouanement est constituée avant sa transmission à l’administration des douanes pour entamer les procédures prévues à cet effet.

Par ailleurs, il sied de préciser que c’est dans l’exercice de ses prérogatives « d’AUTORITE DE CERTIFICATION » que le CEEC, sous la supervision du Ministre des Mines, joue le rôle d’interface entre notre pays et les parties prenantes internationales opérant en aval de la chaine d’approvisionnement à savoir, les Etats de transit et de destination finale ainsi que les consommateurs finaux de nos produits miniers.

Distingués invités je ne saurai revenir sur la dimension technique, sans rappeler que le CEEC coordonne la Commission Nationale de Lutte contre la Fraude Minière, CNLFM en sigle qui, comme nous les savons, est un mécanisme de collaboration pour imprimer une synergie et une dynamique entre institutions et services publiques afin de lutter contre la fraude minière.

Cela dit,

Excellence Monsieur le Vice-Ministre des Mines,
Mesdames et messieurs, distingués invités, en vos titres et qualités respectifs ;

La détermination de la nature physique et chimique des substances minérales qui constitue la dimension technique de la certification au sens du code minier, touche aussi bien l’expertise des pierres que l’analyse des métaux avant commercialisation et exportation. C’est à ce niveau que le CEEC se trouve en lien avec les Régies financières. En effet, la valeur du lot à l’exportation déterminée par le CEEC, partant de la liste complète des métaux y contenus détectés et dossés par spectrométrie ou des caractéristiques intrinsèques de référence des pierres admises sur les places boursières, servent de base de calcul pour toutes les taxes ou rémunérations ad valorem à l’exportation à recouvrer par les régies financières. Par ce travail, en amont, le CEEC facilite la procédure fiscale et parafiscale, en aval, et, en définitive, contribue à la maximisation des recettes du Trésor et de ses services publics tant au niveau national, provincial que local.

Pour agir de manière efficace et efficiente, depuis ma désignation comme Directeur Général intérimaire en juillet 2021 et, par la suite, ma confirmation en novembre 2022 par le Chef de l’Etat, Son Excellence Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, mes collaborateurs et moi, appuyés par notre conseil d’administration et l’autorité de tutelle, n’avons épargné aucun sacrifice, partant des idées forces suivantes : INNOVATION, RIGUEUR ET TRANSPARENCE, pour mettre en exécution l’axe « PROJET LABORATOIRES DU CEEC » du programme minimum. Par ce projet, pris en charge depuis le second semestre 2021 par nos prévisions budgétaires, le CEEC s’emploie prioritairement à implémenter des laboratoires dédiés aux différentes filières minières encadrées dans toutes ses entités à travers le pays. Comme c’est le cas aujourd’hui dans la Province de Lualaba, à Kolwezi.

Distingués invités ;
Vous retiendrez que le laboratoire que nous inaugurons aujourd’hui a été installé dans le respect des standards techniques et environnementaux afin de l’inscrire dans le processus de son accréditation à la norme ISO/CEI 17025.

Sur le plan de ses spécifications techniques, il y a lieu de relever qu’avec la diversité des étuves de capacité différente, les techniciens procéderont à une préparation physique de qualité dans un temps record pour les échantillons des minerais bruts ainsi que de ceux des substances minérales concentrées. Ce laboratoire offre la possibilité des analyses suivantes, grâce notamment aux équipements ci-après :

– L’analyse des cathodes de cuivre par le spectromètre d’Emission optique OES-SPARK ;
– L’analyse des concentrés et des échantillons de l’environnement minier par le spectromètre d’Emission optique ICP-OES à haute résolution ;
– L’analyse des métaux majeurs, cuivre et cobalt, par le spectromètre d’absorption atomique à flamme ;
– L’analyse des échantillons des substances minérales brutes, métaux précieux, roches et sols, liquides, huiles etc. par le spectromètre XRF à longueur d’onde des paillasses et
– L’analyse des carions, anions, complexes organiques et inorganiques dans les eaux et effluents liquides par le spectromètre UV-VIS.
Les explications contenues dans la brochure de présentation du laboratoire mise à votre disposition par les services du protocole vous permettront, et là, je m’adresse particulièrement aux représentants de l’industrie minière locale, de vous rendre compte des possibilités d’analyses ainsi que les performances que les machines placées à chaque étape du process peuvent réaliser. Et, je suis convaincu que, les journées portes ouvertes qui seront organisées dès demain seront utiles pour vous édifier davantage.

Excellence Monsieur le Vice-Ministre des Mines,
Mesdames et messieurs, distingués invités, en vos titres et qualités respectifs ;

L’on conviendra, à la suite de cette présentation sommaire de notre laboratoire, que le CEEC vient de doter le pays d’un instrument efficace pour l’industrie minière à tout le niveau.

Du côté étatique, il viendra appuyer les services techniques du Ministère des Mines pour le suivi technique et environnemental des activités minières, de l’extraction à la commercialisation des produits marchands.
S’agissant de l’industrie minière locale, je dirai qu’une partie de ses besoins d’analyses seront rencontrées à moyen terme. Ce qui va induire, avec l’extension de nos modules d’analyses, la réduction de ses charges d’exploitation qu’occasionne le recours aux laboratoires à travers le monde.

Excellence Monsieur le Vice -Ministre

C’est sur fonds propres, décaissés après validation de l’Inspection Générale des Finances, que cette première phase du « PROJET LABORATOIRES CEEC » est réalisée.

Ainsi, je sollicite de l’autorité de tutelle la révision à la hausse des frais de certification repris dans l’Arrêté ministériel n° 0423 CAB./MIN/MINES/01/2010 du 1 juin 2010 portant fixation du tarif des actes d’analyses du laboratoire du CEEC.

Excellence Monsieur le Vice-Ministre des Mines,
Mesdames et messieurs, distingués invités, en vos titres et qualités respectifs ;

Je ne saurai clôturer mon adresse sans exprimer ma gratitude à vous tous, mais particulièrement à tous mes collaborateurs, Directeurs des services centraux qui, chacun selon ses attributions, ont donné le meilleur en phase de conception et de réalisation de ce projet.

Une palme spéciale à Daniel NGOIE MBAYO, Directeur Technique, Paul KAVUL KABONGO, Directeur Provincial du CEEC/Lualaba et Pierrot LUVETE KABUNI, Chef de Division Métaux pour le travail abattu, particulièrement la pré-installation qu’ils ont réalisée avec professionnalisme.

A l’ensemble du personnel du CEEC de la Province, appuyé, de temps en temps, par les missionnaires envoyés par la Direction Générale. Vous avez, jour et nuit, comme pour la constitution d’un puzzle, assemblé tous éléments nécessaires à l’implémentation de cet édifice qui nous laisse tous admiratifs.

Le Directeur Général Adjoint et moi-même vous en sommes reconnaissants, car vous venez de prouver que, lorsqu’il est mis dans les bonnes conditions de travail, le congolais est capable de produire des résultats qui forcent l’admiration.

Je vous remercie.

Fait à Kolwezi, le 27 juin 2023

MUAMBA KANYINKU Freddy

Directeur Général du CEEC