Grogne à la CNDH

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Nous ne cesserons de rappeler que la République Démocratique du Congo est dotée d’une constitution et celle-ci a prévu les institutions d’appui à la démocratie notamment la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) et le Conseil Supérieur d’Audiovisuel.
Pour la CENI, tout a été fait et elle est à pied d’œuvre sous la mission qui est la sienne.
Le CSAC n’a non plus posé problème pour la constitution de son bureau.
Pourquoi, pour le bureau de la CNDH, il se pose toujours un problème ? Tenez, pour quitter après son mandat, le Président Mwamba a voulu et eu une prolongation sans soubassement. Hélas, il est parti en libérant gentiment le fauteuil présidentiel de la commission.
Présentement, la composition de l’équipe nationale de la CNDH affiche au complet. Mais, hélas, il y a grogne dû au Traffic d’influence au nom du Président Félix Antoine Tshisekedi.
Point n’est besoin de souligner que la matière électorale regroupe sur le plan linéaire toutes les Institutions d’Appui à la Démocratie dans cet ordre CENI-CNDH-CSAC.
Qu’on se le dise la quintessence de la loi organique du CSAC n’a de commun avec la loi organique de la CENI. Mais celle-ci, n’est pas trop loin de celle de la CNDH par le fait que pour la présidence il faut un acteur de la société civile.
En suivant les tractations de la mise en place du Bureau de la CENI, surtout pour la désignation du président national, il s’est avéré que c’est la majorité de 6 confession religieuse qui a remporté le trophée.
qui a bu, boira, dit-on, la logique n’est plus à écarter dans la mesure où l’ensemble linéaire démontre la corrélation directe entre la CENI et la CNDH. Les détenteurs du trophée doivent pousser leur logique jusqu’au bout : les six confessions religieuses doivent rester au perchoir tant de la CENI que de la CNDH pour éviter le télescopage dans la mise en action de la logique formelle ou de la philosophie du travail.
Le duo ou la synergie CENI-CNDH étant non contestable, la base d’impulsion peut être que celle de six confessions et la différence doit résider au niveau des mandataires principaux, en l’occurrence les présidents. En clair, la CENI ayant comme président un originaire de ce Grand Kasaï, la CENI, la CNDH doit avoir le Président tiré démocratiquement et cet espace moyennant les tickets électoraux constitués.

Rentrons dans le passé récent pour éviter la crispation de la machine politique de la République Démocratique du Congo. En fait, tous les postes-clés du règne de JKK étaient entre les mains de swahiliphone, en particulier.
Parlons-en, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi, a entendu le cri du public parce qu’il a des services appropriés qui lui font parvenir les informations de tout bord et de toute nature.
Quittons le passé récent au profit du présent en disant qu’il est insensé de recréer ce qui a été fortement décri ». Indiquons aussi les deux institutions (CENI et CNDH) ayant une pesanteur internationale sur la gouvernance du pays, il faut l’apport des religieux pour leur pilotage nationale.

Dès lors que depuis le tôlé sur le Président de la CENI, la plate-forme des confessions religieuses est sous le contrôle de six confessions religieuses en ce qui concerne la collaboration politique à travers les commissions citoyennes, disons tout haut que les six confessions religieuses méritent prendre la tête de la CNDH: ceci est une exigence de la cohérence managériale.
Par ailleurs, la CENI et la CNDH s’interfèrent sur le plan politique. Or, la configuration politique et judiciaire de notre pays laisse voir que l’espace « Grand Kasaï », pour ne pas se limiter à Tshalubaphone est suffisamment servi.
Il s’en suit l’espace swahiliphone, Kikongophone et lingalaphone (avec moins de 102). Pour éviter de parler en l’air, voir l’exemples probant de ce que nous disons :
– Le grand Kasaï : deux vice-premiers ministres (intérieur et extérieur) pour le compte de Sankuru et une part, les hautes structures de la Justice par le tshilubaphone
– Le swahiliphone : le président du Sénat, le Premier ministre et Directeur du cabinent
– Le Kikongophone : Le président de l’Assemblée nationale
Ces données sont à considérer afin de se pencher sur une configuration républicaine.
La CNDH est une institution, avons-nous déjà dit d’une autre manière, à une incidence qui traverse les frontières comme la CENI. C’est pour justifier pourquoi elle doit être pilotée par un Président contrôlé par les confessions, pour éviter les injonctions étrangères. Ceci étant, il est prudent de mettre en exergue le nom du président Félix Antoine Tshisekedi dans la conquête des ambitions personnelles car, ce dernier a déjà démontré qu’il est au-dessus de la mêlée.
D e tous ceux qui sont engagés au trafic d’influence sur le nom du Président de la République il y a le juge Sylvain Lumu qui serait le chef de Pelletons. Notre rédaction cite ce juge au conditionnel car tout peut être raconté sans pour autant être vrai.
Vrai ou faux, le juge Sylvain Lumu vient de la composant, société civile en transitant dans le cabinet du président de l’Assemblée nationale, l’honorable et le patriarche Christophe Mboso où il a exercé les fonctions de Directeur de cabinet adjoint.
Dans la société civile, tout jeun, il a évolué ç coté de Paul Nsapu qui l’a viré ou bloqué. Notre rédaction a appris que ce dernier laisse entendre à qui veut l’écouter qu’il est le candidat personnel du Président Félix Antoine Tshisekedi à la présidence de la CNDH, selon le message qui serait donné par le juge cité. Si cela s’avérait vrai, grande sera la colère au sein de la société civile dont les groupes collectifs, Réseaux, Synergie…) commencent à s’ajouter.
Il y a 48heures, notre rédaction a fait un sondage à Tshangu, Mont Amba, Funa et Lukunga (les espaces d’action de la ville de Kinshasa) pour connaitre les points de vue des uns et des autres surtout des jeunes avertis. Il s’est dégagé que la majorité refuse de voir un originaire du Grand Kasaï comme président de la CNDH. Les jeunes n’ont pas hésité de dire que trop c’est trop, c’est espace est suffisamment servi.
Autant que la CENI, la CNDH contribue à la consolidation de l’unité nationale (raison pour laquelle ces deux institutions sont à implanter dans toutes les 26 provinces et dans tous les 145 territoires en vue d’impulser la citoyenneté et la démocratie charnière entre la paix et le développement. Dès lors que tous les congolais sont appelés par le Président de la République de s’employer à la restauration et consolidation de la paix, il va de soi que la charnière (CENIet CNDH) ne soit pas une source de mécontentement pouvant bloquer le développement.
C’est donc le moment de conseiller tous ceux qui utilisent le nom du président Fatshi de cesser dans n’importe quel domaine pour le trafic d’influence car ce dernier, qui lutte pour la paux en cette année électorale est le garant de la nation

Le Journal