Suspension du DG de l’ANADEC: Les masques tombent !

 Suspension du DG de l’ANADEC: Les masques tombent !

La déclaration rendue publique le 21 mars 2025, par la délégation syndicale de l’ANADEC vient de lever toute équivoque sur la suspension du Directeur Général de l’ANADEC par le ministre de l’Industrie Louis Watum Kabamba, avec la manigance de la présidente du Conseil d’administration de cette structure.

Beaucoup d’encre et de salive a du couler autour de ce dossier nébuleux qui cache mal la maffia mise au point pour défenestrer de son poste le numéro un de l’ANADEC, mais les points viennent d’être mis sur les i par les syndicalistes qui ont appelé le chat par son après leur réunion du 21 mars qui a conclu à l’unanimité, que jusqu’à preuve du contraire, le porte-parole de la délégation syndicale est son président, monsieur Charles Mikadi et ne reconnait pas avoir donné mandat à Madame Judith Banawela Nkoy, la vice-présidente, pour parler en son nom.

Et surtout, pour se prononcer sur la question de la suspension du Directeur Général de l’ANADEC.
Une intervention publique malencontreuse intervenue au moment où la délégation syndicale attendait la mise en train de la feuille de route fixée par la Première ministre, Cheffe du gouvernement Judith Suminwa, selon laquelle, le Directeur Général, la PCA et la délégation syndicale devraient se parler autour de la table pour favoriser un climat apaisé au sein de l’administration de l’ANADEC.
La délégation syndicale a été surprise de la suspension d’une des parties au conflit, en la personne du Directeur Général Godefroid Kizaba, croyant que cela allait résoudre le problème, pourtant ça n’a fait que l’exacerber, tout en emplifiant la crise entre les agents, les cadres et les dirigeants de l’ANADEC.
Ce que la délégation syndicale déplore en dénonçant la sortie médiatique de Judith Nkoy qui s’aligne derrière un camp au détriment de l’autre, tout en condamnant également avec la dernière énergie, l’attitude usurpatrice de responsabilité qu’a adopté madame Judith B. Nkoy qui a engagé la délégation syndicale, sans titre ni droit. Alors que les règles en la matière sont claires. D’où, la délégation syndicale rejette en bloc, toutes les allégations mensongères et non fondées de Judith B.Nkoy, faites sans aucune preuve. Au point que la délégation syndicale tire la sonnette d’alarme en direction du Chef de l’État, de la Première ministre et du ministre de l’Industrie, en vue de s’impliquer à fond et de manière urgente dans ce dossier, pour que soit trouvée une paix durable au sein de l’ANADEC.
De la même manière, aux agents et aux cadres de l’ANADEC, la délégation syndicale recommande la vigilance et non la manipulation à la place du professionnalisme, l’équité et la solidarité. Au moment où nous étions de boucler cette édition, nous apprenions que le Conseil d’État , Section du contentieux, chambre du conseil en référé – liberté a rendu une ordonnance sur cette affaire de suspension du DG de l’ ANADEC que nous Allons publier dans notre édition de demain

Le Journal

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