Stratégie industrielle et entrepreneuriale : Louis Watum Kabamba, pilier incontournable de la vision chère à Félix Tshisekedi

 Stratégie industrielle et entrepreneuriale : Louis Watum Kabamba, pilier incontournable de la vision chère à Félix Tshisekedi

Entré en fonction le 12 juin 2024 dans le gouvernement SUMINWA, Louis WATUM KABAMBA a fait de la transformation industrielle et l’entrepreneuriat de la RDC son cheval de bataille. Il a été nommé par le Président de la République Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO sur base d’une ordonnance qui traduit suffisamment une vision claire, des actions concrètes, et des résultats palpables, soutiennent ses proches.

 

En capitaine d’industrie avéré devenu stratège de l’action publique, Louis Watum avait déjà conquis le secteur privé avant même de se lancer dans la sphère publique. Gestionnaire chevronné, confient ceux qui le côtoient, le ministre de l’Industrie a dirigé avec brio des exploitations minières de renommée internationale, parmi lesquelles la mine de YATELA au Mali, celles de KIBALI, KAMOA et tout récemment KICO. Ces expériences ont fait de lui une figure de proue de l’industrie minière africaine et une référence dans la gestion de projets complexes.

Il indiqué dans les cercles mieux au fait, que c’est fort de ce bagage, que Watum a apporté dans les ministères de l’Industrie et du Développement des PME, une rigueur, une efficacité et une vision stratégique rares, en assurant une gestion préventive. Il œuvre pour favoriser les entreprises congolaises dans les marchés internationaux.

En plus, il force l’admiration dès lors qu’il fait de l’entrepreneuriat, une révolution silencieuse en marche. Car, sous son impulsion, le secteur de l’entrepreneuriat a connu une véritable métamorphose, rassurent ses collaborateurs en citant parmi ses principales réalisations : l’extension nationale des structures d’accompagnement : alors concentrées à Kinshasa, ces structures sont en voie d’installation dans les 26 provinces du pays, la dématérialisation complète du processus de création d’entreprise, en cours de réalisation en collaboration avec le ministère de la Justice, de façon que bientôt, créer une entreprise sera possible depuis chez soi, sans se déplacer. Il y a également la création de l’assistant virtuel E-KAZI, une première en RDC qui permet aux entrepreneurs d’obtenir des réponses en temps réel sur la création et la gestion d’entreprise. La promotion de l’entrepreneuriat étudiant à travers la campagne « Étudiant-entrepreneur », dans plusieurs universités est aussi compté à son actif ainsi que le déblocage historique des arriérés dus par l’ARSP aux structures allocataires (ANADEC, FOGEC, APROCM), après plus de quatre années de blocage, rétablissant ainsi la chaîne de financement des PME locales.

L’on ne peut boucler la liste en omettant la mise en place d’un mécanisme de nivellement automatique, évitant le retour des arriérés, tout comme la réforme législative ambitieuse : relecture de la loi sur la sous-traitance et élaboration d’un avant-projet de loi sur le contenu local, en partenariat avec des experts nationaux et internationaux.

A tout cela s’ajoute, à juste titre, la formalisation massive des PME informelles, pour leur donner accès aux marchés publics et aux financements.

Quand Industrie rime avec renaissance et diversification

Conformément au Plan d’action du gouvernement SUMINWA et à la vision du Chef de l’État, Louis WATUM KABAMBA s’est attelé à revitaliser le tissu industriel congolais :

* Déploiement des Zones Économiques Spéciales (ZES) : La RDC compte désormais 7 ZES opérationnelles, notamment celles de Maluku, Kin Malebo, Kiswishi, et la plus récente à Musompo, dédiée à la fabrication des batteries.

* Création de nouvelles unités industrielles** comme la cimenterie du Kasaï (première dans la région), une centrale photovoltaïque près de Kinshasa, une usine de fabrication de batteries, une unité de fabrication de tricycles, etc. * Relance d’industries stratégiques à l’arrêt depuis des décennies : la Sucrière du Kivu (SUKI) a redémarré après 20 ans d’inactivité ; la SOTEXKI est en cours de relance avec équipements déjà sur place.

Il a aussi réglé un vieux problème : le financement du BNPI et de l’AZES, qui perçoivent désormais leur quotité du FPI, assurant la durabilité de la politique industrielle.Une gouvernance stratégique et une diplomatie économique proactive

Grâce à une diplomatie économique alignée sur celle du Chef de l’État, Louis WATUM KABAMBA a attiré des investissements de plusieurs milliards de dollars, remportant au passage le prestigieux Prix IETO Business, décerné par des investisseurs indiens.

Répondant à l’appel du Chef de l’État pour l’effort de guerre à l’Est, il a mobilisé les structures sous sa tutelle, récolté des fonds, et même instauré une plateforme digitale “SolidaritéEst” pour impliquer chaque Congolais. Les membres de son cabinet ont, à son exemple, sacrifié la moitié de leur salaire pour cette noble cause.

Plusieurs entrepreneurs ont été financés et plusieurs contrats leur ont été octroyés, indique-t-on.

 

Un leadership d’impact au service du développement

En moins d’un an, Louis WATUM KABAMBA a posé des jalons structurants pour un entrepreneuriat congolais fort et une industrie souveraine. Fidèle à la vision du Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO et au plan du gouvernement SUMINWA, il incarne l’espoir d’un Congo qui se bâtit par ses propres forces.

 

Le Journal 

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