Scandale: Actes hideux d’expropriation et de vandalisme à la Cité de la Paix Cardinal ETSOU au nom de la “première Dame »

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Un acte d’une grave cruauté a été enregistré il y a quelques jours au niveau de la Cité de la Paix Cardinal Etsou où, une bande d’individus visiblement déterminés à semer le chaos, a investi ce site immobilier dédié à la construction des logements sociaux accessibles à toutes les bourses.

Les envahisseurs, le nom leur sied à merveille, se sont présentés disant être venus au nom de la première Dame, pour récupérer le site qui, selon leurs dires, leur appartiendrait. Passant de la parole aux actes, et en deux temps, trois mouvements,  les clés des maisons ont été ravis des mains du Superviseur du site Cité de la Paix, sans aucune autre forme de procédure, pour les remettre à la bande des prétendus propriétaires avant que suive son arrestation. Il a été amené manu militari  à la Cour d’appel de Matete et mis dans un cachot minable où il a passé 48 heures. Sans plaignant.

Le réseau des malfrats qui se sont livrés à cette triste aventure, selon plusieurs sources, doivent faire partie d’un puissant et dangereux réseau, car comment comprendre qu’il a réussi à obtenir du Procureur de la Cour d’appel de Matete, une réquisition des éléments armés sans plainte en vue de procéder à l’expropriation illico presto et au méchant saccagé des maisons luxueuses de la Cité qui ont été piteusement vandalisées et complètement pillées.

Du coup, une plainte contre inconnus a été déposée par la partie levée auprès des instances habilitées. Les enquêtes préliminaires menées ont permis de mettre la main sur le chef de bande. Il a été arrêté jeudi 16 Juin par les éléments de l’auditorat serait un major des Fardc, du nom de Kadima, cerveau moteur de la bande mafieuse qui se réclame de la Distinguée première Dame, il devra dénoncer ses complices et soutiens pour qu’ils soient mis hors d’état de nuire.

Dans l’entretemps, le promoteur du projet immobilier n’a que ses yeux pour pleurer car ne sachant sur quel pied danser pour récupérer les biens pillés et recommencer à zéro le travail de plusieurs années mis à plat.

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Le Journal