Il prenait plaisir à jeter en pâture l’honneur du VPM Mukoko Samba…: Me Pathy Lendo dans ses petits souliers !

 Il prenait plaisir à jeter en pâture l’honneur du VPM Mukoko Samba…: Me Pathy Lendo dans ses petits souliers !

La vidéo qui circule sous les manteaux, notamment dans les salons huppés de la capitale, montre Me Pathy Lendo en train de vendre du vent à ceux qui veulent l’entendre. La vidéo est assez symptomatique dès lors qu’on y voit l’intéressé qui s’est toujours vanté de prôner la méritocratie, être tombé dans les filets de la police pour escroquerie.

Pour des confrères mieux au fait, Me Pathy Lendo promettait à certains compatriotes des postes au nom d’Augustin Kabuya, secrétaire générale du parti UDPS.

Pourtant, c’est cet homme mal intentionné et reconnu notoirement comme un escroc, qui se plait à vilipender à loisir le vice-Premier ministre en charge de l’Économie nationale, le professeur Daniel Mukoko.
L’un des membres les mieux notés du gouvernement Suminwa et qui satisfont le Président de la République en rendant palpable, sa vision pour le bien-être de la population.
Professeur Daniel Mukoko Samba, a rappelé un de ces confrères, est un technocrate qui fait l’unanimité. «Il signe son retour au gouvernement, une décennie après avoir été aux affaires. Professeur d’université, Daniel Mukoko Samba était Directeur de cabinet adjoint d’Adolphe Muzito, alors Premier ministre et Vice-Premier ministre, ministre du Budget au sein du gouvernement dirigé par Augustin Matata», a-t-il noté en disant que, revenu aux affaires dans le gouvernement dirigé par la Première Ministre Judith Suminwa, ce brillant économiste fait face à certaines urgences. Le cas, par exemple, de ramener des pertes et manques à gagner dans le secteur pétrolier de 170 millions $ US à 16 millions, mettant la RDC à l’abri des dépenses colossales.

Pas que ça, a souligné ce dernier parce qu’il est aussi question de rétablir le pouvoir d’achat des Congolais avec le Franc congolais, une devise nationale en perte de vitesse face aux devises étrangères demeure le leitmotiv du VPM, ministre de l’Économie nationale.

Mukoko Samba doit, dans la foulée, poursuivre les missions de diversification de l’économie trop dépendante du secteur extractif. Persuadé qu’il « faut remodeler l’Etat pour faire de l’Etat un agent de développement » comme il a écrit dans son ouvrage « Guérir du mal Zaïrois », le rendant l’architecte de la bancarisation de la paie des agents et fonctionnaires de l’Etat et de plusieurs réformes de finances publiques.

Avec tous ces hauts faits, on ne comprend donc pas qu’un quidam et escroc en la personne de Me Pathy Lendo ait demandé la démission du VPM Mukoko Samba, s’étonne le confrère qui dit ne pas comprendre que quelqu’un qui s’est illustré à faire des « révélations » sans en apporter la moindre preuve sur toutes ses accusations se soit pris pour ce qu’il n’était pas, pourtant, il ignorait qu’il avait à faire à un homme d’État dont le parcours et le témoignage crient fort en sa faveur, s’est réjoui le confrère.

Le Journal

Pathy Joseph LENDO M’fuma, maître avocat ou maître-chanteur ? …Cet homme est simplement très dangereux !

Un philosophe italien, Umberto Eco, ne croyait pas si bien dire : « Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui, avant, ne parlaient qu’au bar et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite. Aujourd’hui ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel ».

Que les services d’intelligence s’y penchent !

Des dilettantes à la témérité sans borne, des détrousseurs et des pirates à col blanc, candidats « tueurs à gages », mangeant à tous les râteliers et prêts à bafouer l’honneur et la dignité d’honnêtes autorités publiques, s’activent à découvert et écument fiévreusement allées, corridors, vestibules et antichambres des édifices, y ciblant effrontément et impunément même des sommités hiérarchiques.
Plus grave ! ils investissent le champ de la « communication numérique » et y banalisent tout, dans une effrayante propension à la diffamation et à la calomnie au point ils ont réussi, ainsi que le stigmatise le Pape François, à évacuer littéralement toute éthique et tout respect de la renommée d’autrui, et à offrir à l’agressivité sociale sans pudeur un espace d’amplification hors pair dans les appareils mobiles et les ordinateurs, et même de foisonnement de formes étranges d’agressivité, d’insultes , de mauvais traitements, de disqualifications, de violences verbales qui vont jusqu’à détruire l’image de l’autre.
La communauté nationale est ahurie de découvrir qu’en son sein des âmes damnées des plus nuisibles se recrutent paradoxalement parmi des hommes et des femmes qu’elle a tendance à considérer au-dessus de tout soupçon dans ce genre de travers.

Ecce homo … Me Pathy Joseph LENDO M’fuma, un dilettante bruyant, rabatteur singulièrement éhonté ! Il a ainsi son hideuse empreinte criminelle dans la sape du plan de redressement de REGIDESO et vraisemblablement également ailleurs ( ?).

Pompeusement autoproclamé depuis des lustres (les années J. Kabila) à la fois « initiateur de l’opposition scientifique congolaise » et « ami intime » des collaborateurs de premier plan du cabinet J. Kabila, Pathy Joseph LENDO, visiblement tombé dans l’overdose de ses rabattages, s’est illustré et dévoilé sur la toile dans toute la laideur de maître-chanteur.
Mal lui en a pris. Cherchant, à coup de jets de bave d’un crapaud grommeleur et agitateur, à faire du buzz sur le dos d’une valeur scientifique sûre et éthérée du pays que représente la personnalité du Pr. Daniel MUKOKO Samba, Vice-Premier Ministre, ministre de l’Économie, le pourfendeur professionnel de la bienséance, Pathy Joseph LENDO M’fuma, s’est piteusement emmêlé les pinceaux et l’effet boomerang de sa témérité n’a de cesse de le déshabiller à l’aune des témoignages accablants qui fusent de jour en jour d’illustres victimes de ses œuvres d’orfèvre professionnel du racolage.

Les fins limiers de votre journal ont ainsi échangé avec un proche collaborateur d’un ancien haut cadre de la REGIDESO, Délégué Général Adjoint de 1988 à 1997, en l’occurrence, Ir Jean-Louis BONGUNGU – pour ne pas le citer – victime en octobre 2017, selon les propres termes du témoin, « d’une forfaiture odieuse et cynique perpétrée sous l’instigation d’un sujet sénégalais, Madio Fall, alors fonctionnaire de la Banque mondiale, véreux et intrépide dans ses travers.
Fort de la protection de double cuirasse, la loi non écrite d’omerta et la réputation de forêt institutionnelle collée à la RDC ou celle d’un « peuple inculte et absent »( A. Wade), le couple franco-sénégalais de fonctionnaires de la Banque mondiale, Madio Fall et Pierre Boulenger, avait tissé au sein de la REGIDESO et du COPIREP un réseau maillé d’acteurs appelés à assumer le rôle non déclaré de protecteur acharné des intérêts du groupement franco-sénégalais Eranove /Sénégalaise Des Eaux (SDE), opérateur titulaire du contrat de service à la REGIDESO recruté dans un processus largement affecté par de grossières irrégularités tant au niveau de l’observance des règles et principes de concurrence, transparence et compétitivité qu’à celui des négociations, de conclusion et de gestion des contrats de service successifs ( 2012-2018).

Toute opinion ou recette du fonctionnaire de Banque mondiale valant parole d’évangile, Bible ou Coran et devant être prise par ministres et autres mandataires de l’État pour de l’argent comptant, le COPIREP et la REGIDESO se réduisirent au rôle d’avaliseur et d’exécuteur arrangeur des sales combines, des opérations ruineuses, et vouèrent soumission et même subordination à Madio Fall qui instilla une attitude renversante dans la tenue des mandataires et ministres : si Madio Fall leur demandait de se faire couper en deux pour lui, par exemple pour obtenir un second contrat de service en faveur de Eranove/SDE ou encore la tête de Bongungu, leur réponse unique était « dans quel sens ? » !

Pour les deux fonctionnaires de la Banque mondiale, la fin justifie les moyens et tous les moyens étaient bons quand il s’agissait de contourner la rigueur du système de contrôle interne de la Banque mondiale pourvu qu’ils atteignent leur but, se tenant volontiers coupables de transgressions de tous genres et de graves actes illicites : trafic d’influence, abus de pouvoir et de position ou de statut, collusion, corruption, fraude, incitation des fonctionnaires de l’État congolais à commettre des abus… !
Couverts par l’omerta de l’institution de Bretton Woods MM. Madio Fall et Pierre Boulenger coupables de graves actes illicites : montages collusoires, trafics d’influence, abus de pouvoir et de position ou de statut, collusion, corruption, fraude, incitation des fonctionnaires de l’État congolais à commettre des abus, etc. La fin justifie les moyens, telle semble être la ligne de conduite de MM. Madio Fall et Pierre Boulenger, tous deux fonctionnaires de la Banque mondiale ayant coordonné l’équipe de projet PEMU : pour eux, tous les moyens ont été bons quand il s’agit de contourner la rigueur du système de contrôle interne de la Banque mondiale pourvu qu’ils atteignent leur but.

Homme à poigne et de grande expérience, ce compatriote est reconnu comme l’unique pan survivant de la mémoire institutionnelle du projet Eau en Milieu Urbain (PEMU) et baliseur de la mise en œuvre du plan de redressement de la REGIDESO, plan alors adossé audit projet dont il avait coordonné la mise en œuvre de novembre 2009 à octobre 2017 avant d’être frappé du sceau d’autodafé avec l’empreinte « mercenaire » de Pathy Joseph Lendo dans le rôle grassement stipendié de fossoyeur et arrangeur de phrases et de prétextes.
Il paya de sa carrière la témérité de son patriotisme, succombant sous le coup d’une forfaiture odieuse et cynique commanditée par M. Madio Fall, qui avait « armé » le bras complice de M. Alex Nkusu, Secrétaire Exécutif a.i. du COPIREP à la manœuvre pour enrôler une brochette de hauts cadres nationaux (ministère et REGIDESO) dans le rôle de pantins commis à la tâche de « caisse de résonnance », tous rivalisant d’ardeur et de hargne en exécuteurs fidèles et zélés de la conspiration.
M. Bongungu sera sommairement et irrégulièrement descendu, évincé, décapité et éloigné du PEMU sans droit à une « sépulture digne» jusqu’à ce jour !

Citoyen effondré à la suite des violences administratives que n’ont eu de cesse de lui infliger impunément ministres et mandataires publics, tortionnaires, enclins à abuser de la force de la puissance institutionnelle, M. Bongungu a sa plaie encore à vif et se montre avare de commentaires sur le témoignage de notre source.
Il estime s’être longuement et abondamment épanché sur l’incroyable supplice qu’il subit depuis sept ans déjà pour seul crime commis celui de son refus acharné de s’aligner sur la voie d’une gestion laxiste des activités d’appui à la réforme du secteur de l’eau au titre du projet PEMU, de la part des architectes de la grosse arnaque du contrat de service exécuté par Eranove/SDE, notoirement incompétent, et soldé par un fiasco : le naufrage de la REGIDESO dont la situation opérationnelle et financière à fin 2018 était à tous égards pire que celle à fin 2012 soit à la veille de l’entrée en service de l’opérateur privé titulaire du contrat de service.

L’œil de l’astre Bongungu, cassandre de la REGIDESO, avait assurément aperçu la houle dévastatrice ou plutôt l’énorme iceberg trop tôt au goût des conspirateurs-conjurés du PEMU. Aujourd’hui, le rêve d’une REGIDESO requinquée, porté à travers l’élan de lancement du projet PEMU en novembre 2009, est définitivement arrêté et brisé net à cause de la cupidité et de l’impéritie des membres de l’engeance criminelle des conjurés du PEMU entretenue par le COPIREP.
Les prédateurs ont immolé M. Bongungu sur l’autel de leurs intérêts privés pour pouvoir dépecer tranquillement la REGIDESO engraissée par les ressources des dons IDA au titre du PEMU avant de faire naufrager son épave. La REGIDESO reflète à ce jour l’image d’un vaisseau irrémédiablement à la dérive, voguant sans boussole ni ancres ni amarres et tanguant dangereusement vers des rives rocheuses. Ce paquebot ressemble étrangement au tristement célèbre navire Titanic, l’Insubmersible, mais il a perdu non pas une illusoire insubmersibilité mais simplement sa légendaire résilience des années 1980-90 : il règne une sorte d’indifférence tranquille par rapport à l’inexorable engloutissement du navire REGIDESO.

Depuis son retentissant cri d’indignation et de colère lancé en date du 30 octobre 2017 portant acte d’accusation ouvert et univoque, le martyr, J.L. Bongungu n’a eu de cesse de dénoncer des faits particulièrement graves à travers une multitude de correspondances. Il estime aujourd’hui que, indépendamment d’éventuelles actions des Services d’Intelligence, des limiers des médias congolais et autres ONG nationales auraient dû fouiner dans les placards des véritables charognards, dénoncer les prédateurs et les vouer définitivement à « l’infamie » non seulement dans l’arnaque pestilentielle du contrat de services REGIDESO au titre du projet PEMU mais également sur différents plans de redressement des principales entreprises publiques transformées en sociétés commerciales engagés sous la conduite du COPIREP au titre du PCDSP (projet compétitivité et développement du secteur privé) 2004-2024.
Ce faisant, il sera possible de nettoyer l’écurie des Augias, en neutralisant les gestionnaires maffieux de tous poils, allègrement rétribués pour services sordides assurés ou appâtés par des promesses de sinécures et autres avantages, des crimes économiques et financiers dont la commission n’est guère aisée sans des relais « mercenaires » rabatteurs de l’espèce de Pathy Joseph Lendo.

Sieur Pathy Joseph Lendo, le racketteur le plus dangereux de son époque ? Son sésame ? Il se targue d’un riche « carnet d’adresses » et en use comme « pass » à des hauts-lieux institutionnels « amicaux », carrières de matériaux de construction de ses opérations délictueuses.

Véritable barbouze en toge-soutane, homme lige de son ministre (Ingele Ifoto : Énergie et Ressources Hydrauliques), Pathy Joseph Lendo M’fuma, alimenté en matériaux de délation et orienté dans sa funeste entreprise par Alex N’kusu Dongala (COPIREP) et Philippe Lumeka Ditalua (le joker « élu » par l’engeance criminelle pour remplacer le coordonnateur du PEMU alors en place), conçut et mena une opération kamikaze, sous le contrôle du seul ministre Ingele et à l’abri des regards indiscrets du reste du cabinet ministériel.
C’est des messes noires organisées en des lieux obscurs, loin des bureaux lambrissés du cabinet ministériel, lesquelles débouchèrent sur d’innommables excentricités administratives, œuvre d’un laboratoire de la honte tenu par un homme dont les initiales (PJL) pour Pathy Joseph Lendo sont gravées ostentatoirement dans les actes du ministre en rapport avec ce qui se solda par « l’éviction d’irrégulière, dégradante et humiliante » de celui qui était devenu le poil à gratter de l’establishment « Madio Fall » protecteur des intérêts financiers de l’opérateur franco-sénégalais Eranove/Sénégalaise Des Eaux (SDE)»

Sieur Pathy Joseph Lendo échafauda, sans tremblement, une entourloupe coupe-gorge sous forme d’un « mensonge d’État » qu’il fit mettre en avant par la bouche de son ministre Ingele Ifoto, pour les besoins de la cause et avec une effronterie insoupçonnée, dans une histoire au teint de crime d’État sur la personne d’un citoyen libre et indépendant. Comme pour se donner la conscience tranquille devant son « grand-frère » (sic !) qu’il devrait « trucider », le ministre citait à plusieurs reprises, vraisemblablement abusivement, le nom du président de la République, Joseph Kabila, et évoquait de prétendues instructions et indications « de la plus haute hiérarchie du pays » – entendez le président de la République ! » (selon ses propres déclarations en date des 5 et 6 septembre 2017), savoir « la Banque mondiale subordonnerait désormais la poursuite de son soutien financier et technique au secteur de l’hydraulique urbaine en RD Congo et donc à la REGIDESO, au remplacement immédiat du Coordonnateur PEMU en place ».
Aucun acte administratif valide ne sera notifié à la victime ni même archivé au Journal Officiel, le tout ayant par ailleurs été de bout en bout engagé et exécuté en violation des textes légaux, règlementaires et autres conventionnels spécifiques au PEMU.
Toute décision concoctée par Sieur Pathy Lendo était à tous égards et dans le fond comme dans la forme, réputé nul et de nul effet, la procédure ayant été entachée de nombreuses irrégularités.
Il est légitimement permis de se demander comment Sieur Pathy Joseph Lendo avait pu faire montre d’une telle outrecuidance. L’engeance criminelle agissait sans vergogne et poussa leur perfidie et leur effronterie jusqu’ à un tel degré de sordidité. Quelle ignominie ! Cela ne devrait pas passer sans interpeller la conscience des garants de la vie des institutions en danger vis-à-vis des fossoyeurs du Congo, ces incompétents intrépides et cancres revanchards prêts à perpétuer une forme de banditisme d’État.
Cette race de dirigeants et cadres peuvent initier ou signer allègrement de graves décisions sans tremblements car inconscients des conséquences souvent malheureusement bouleversantes de leurs actes. Par contre, aussitôt que le vent tourne défavorablement par rapport à l’écurie des Augias où ils se sont nourris jusqu’à l’overdose, les mêmes fayots sont prompts à renier l’autorité « morale » qu’ils ont exploitée à leurs vils besoins.

De ce point de vue, la dernière direction du Cabinet présidentiel de Joseph Kabila tenue par Néhémie Mwilanya aura excellé en atavismes d’immoralité au sommet, le mutisme de cimetière du Président pouvant être exploitée par des collaborateurs indélicats comme une assurance de l’impunité, garantie entretenue et offerte sans frais.
Pathy Joseph Lendo pouvait ainsi « manipuler » le ministre Ingele Ifoto en exhibant sa proximité particulière (sic !) avec le Directeur de Cabinet, Néhémie Mwilanya et son Adjoint en charge des questions politico-administratives, Jean-Pierre Kambila ainsi l’ambassadeur Théodore Mugalu, alors patron (sic !) de la Maison civile.

Voulez-vous une preuve du rôle funeste joué par Sieur Pathy Joseph Lendo M’fuma dans la matérialisation du plan de mise à mort du plan de redressement de la REGIDESO à travers la grosse arnaque du contrat de service de REGIDESO exécuté par Eranove/SDE ?
L’engeance en a donné une parfaite mais affligeante illustration quand ils se sont effrontément permis de recruter un « mercenaire » congolais pour une activité manifestement inéligible et des services de lobbying « sui generis » grassement rémunérés sur les ressources du projet, en l’occurrence de Me Pathy Joseph Lendo susnommé, alors conseiller et homme de main du ministre Jean-Marie Ingele Ifoto. C’est le prix de la corruption aggravée : des fonctionnaires de la Banque mondiale ont irrégulièrement utilisé les ressources du projet financé par la Banque mondiale pour « acheter par corruption » les services d’un fonctionnaire du pays emprunteur aux fins de piéger la Direction de la Banque de manière à forcer celle-ci à mettre sous l’éteignoir ou à déroger à ses propres règles !

Pour sa contribution déterminante à l’action du groupe des conjurés du PEMU, sieur Pathy Joseph Lendo était ainsi, au lendemain de son opération kamikaze, gratifié, récompensé, grassement rémunéré par le nouveau Coordonnateur du PEMU, sieur Philippe Lumeka Ditalua, sur les ressources du don IDA/Banque mondiale et cela, avec l’accord exprès et outrancièrement compromettant (l’activité objet des prétendues prestations rémunérées étant strictement inéligible et le recrutement opéré totalement en violation des règles et procédures de la Banque mondiale)

Les documents de contrat, rapports et notes d’honoraires (en fac-similés) illustrent l’étendue et la profondeur de la compromission des gestionnaires impliqués des parties prenantes :

Primo – La mission confiée au conseiller juridique (Pathy Lendo) du ministre de l’Énergie et Ressources hydrauliques, sélectionné par Entente Directe sur la base de son CV et de son carnet d’adresses bien fourni (sic !), consistait en la facilitation des démarches auprès des institutions de la République ( Présidence, ministères des Finances et de l’Énergie et Ressources hydrauliques) pur relancer la Banque mondiale en vue de l’aboutissement de la requête de prorogation de la date de clôture du projet PEMU ! Il s’agit donc de jouer « un rôle sui generis d’expert facilitateur pour compte du Gouvernement auprès du même Gouvernement ».
Secundo – À une demande soumise par M. Philippe Lumeka lancée le 20 août 2018, M. Pierre Boulenger, par retour e-mail, notifie le même 20 août 2018 l’avis de non objection de la Banque mondiale sur le contrat passé à un conseiller du ministre pour des prestations de « consultant spécial en lobbying », mission sui generis payée rubis sur ongles au taux de 750 dollars par jour de prestations – prix entendus hors frais exposés au titre de moyen de déplacement soit un véhicule avec chauffeur – entièrement couverts sur les ressources du Don IDA en FA-PEMU, et consistant à convaincre le Gouvernement à pousser la Banque mondiale à accorder une prorogation du PEMU au-delà de la durée maximum autorisée de 10 ans en usant, le cas échéant, de la pression populaire, celle de l’opinion publique, tant redoutée (sic !) par l’IDA, ainsi que le souligne lui-même Pathy Lendo dans son rapport.
Tertio – En guise de carnet d’adresses fourni, Pathy Joseph Lendo invoque, dans son rapport de fin de mission, des implications contributions de ses amis à l’accomplissement de sa mission, notamment celles des institutionnels de la présidence de la République : Néhémie Mwilanya, Directeur de Cabinet, Jean-Pierre Kambila, son Adjoint et Théodore Mugalu, Chef de la Maison civile.
Il ajoute même que certains de ses amis fonctionnaires de la Banque mondiale, « ouest-africains » et « européens » (sic !), bien introduits au siège de la Banque à Washington ont constitué une caution forte de succès de sa mission.
C’est étrangement dans le grand Congo que, grâce à des relais nationaux mercenaires de l’acabit de Pathy Lendo des fonctionnaires internationaux véreux s’adonnent à cœur joie, sans honte ni moindre remords, à des trafics d’influence et abus de pouvoir. Ils s’y savent totalement à l’abri, comme l’aigle dans son haut vol, des regards institutionnels officiels des autorités du pays hôte, eux qui, même aux yeux de nos ministres et mandataires publics, sont tenus pour des êtres astraux alors qu’ils sont les principaux responsables des mauvais résultats enregistrés dans la mise en œuvre des projets.

Qui peut croire que les rapports d ’un consultant, au cadre d’adresses fourni soit-il, officiellement mis en circulation et partagés avec les services de la Banque mondiale révèlent que le but de la mission financée par le projet était de pousser le Gouvernement congolais ainsi que toutes les institutions de la République à « intimider et forcer » la Banque mondiale à accorder, dans la crainte de l’opinion publique congolaise conditionnée voire chauffée à blanc à cet effet à travers les médias nationaux, eux-mêmes préalablement motivés à cette fin, des prolongations de la durée du projet PEMU ?
Autrement dit d’obtenir à tout prix que le Gouvernement s’implique dans un jeu de trafic d’influence et manipulation et arrive à forcer à son tour la main à la Direction de la Banque mondiale – au besoin par recours à un vil chantage, celui d’agiter l’épouvantail d’une hostilité de l’opinion publique congolaise à l’égard de la Banque mondiale qu’elle vouerait à une sorte de vindicte pour sa supposée insensibilité à la cause d’une population en détresse au cas où elle refuserait d’accorder une prorogation exceptionnelle du PEMU au-delà du terme alors échu au 31 décembre 2018 ?
MM. Pierre Boulenger et Madio Fall ont pu se tirer d’affaires à très bons comptes car le fiasco du plan de redressement de la REGIDESO leur est principalement imputable, avec le COPIREP solidairement.
Rapport final De Consultance

Pre-rapport Contrat De Consultant TDR CELLULE D'EXECUTION DES PROJETS-EAU DE LA REGIDESO S.A.

L'INSECURITE DANS L'EST DE LA RDC 04 JANVIER 2024
Au 31 décembre 2024 soit après six (6) des prorogations successives et intégration des activités et financement dans le projet Kin Elenda, le pays n’a toujours pas engrangé les résultats escomptés, au contraire le naufrage de REGIDESO est devenu irréversible !
Témoignage d’un victime
JLP/CP

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