La Société congolaise des Transports et Ports -SCTP- était un canard boîteux à l’agonie par la mauvaise gestion des mandataires véreux. Soucieux de tirer cette entreprise publique de cette situation, le chef de l’Etat Félix Tshisekedi a nommé monsieur Martin Lukusa à sa tête pour sauver les meubles. Mais depuis qu’il occupe ce poste, sa présence ne semble pas plaire à certains compatriotes, élus du peuple de surcroît, qui ne jureraient que sur son départ.
Non pas parce qu’il ne répond pas aux critères de Gestionnaire qu’il faut à la place qu’il faut, mais tout simplement parce qu’il n’est pas de souche Ne Kongo.L’on croit rêver. En plein 21è siècle. Pour ces élus aux méthodes rétrogrades, des entreprises comme la SCTP, la RVM, l’OEBK…, qui ont pour assises la province du Kongo-Central, doivent être gérées par les Ne Kongo et non de personnes d’autres provinces, au risque de leur mener une gue-guerre en les accusant de tous les maux pour les faire tomber. Cas de ce qui est vécu actuellement par le DG ai de la SCPT dont la gestion est discréditée gratuitement pour saper son image dans l’opinion.Des bobards ont été concoctés dans ce sens, racontant que le numéro un de la SCTP fait partie d’un réseau maffieux avec le circuit douanier qui fait perdre des recettes à la SCTP. Pas de preuves pour étayer ces dires. Juste pour détourner l’attention sur des actes multiples posés pour sortir la SCTP de sa situation de canard boîteux où elle se trouvait.Pour beaucoup d’observateurs, il n’y a que des enquêtes de l’IGF qui peuvent attester de la mauvaise gestion d’un mandataire, ce qui n’est pas le cas jusque là.Dossier à suivre…
Le Journal