Le Grand Equateur et la zone ou l’Espace linguistique lingalaphone en RDC, refuse d’être encore cette fois-ici banni été écarté de la direction d’une des quatre institutions politiques les plus en vue en RDC durant le deuxième mandat du président de la République refuse, ne cautionnera pas et n’acceptera pas encore une fois de plus, être victime des mesures discriminatoires dans la distribution des postes de responsabilités en RDC et réclame le poste du président du SENAT.
Pour des raisons purement géostratégiques, la géopolitique, l’équilibre linguistique, et pour ne pas donner l’avantage aux mêmes personnes et contrées, doit être désormais scrupuleusement respectée en République Démocratique du Congo. Dans le cadre de la géopolitique, quand le Président de la République Démocratique du Congo avait créée l’Union Sacré de la Nation, il avait mis en place un Présidium représentatif des 4 espaces ou Zones linguistiques à savoir : la Zone linguistique Tshiluba phone, la Zone linguistique Kikongophone, la Zone linguistique Swahiliphone et enfin la Zone linguistique Lingalaphone et pendant le mandat passé, toutes ces zones linguistiques qui devraient en logiquement en toute impartialité et en toute vérité, participer activement dans la gestion du pays en dirigeant ne fut ce qu’une Institution politique de la RDC, avait été servi sauf la zone Lingalaphone. La Présidence de la République Démocratique du Congo, durant le premier mandat du Chef de l’Etat, était dirigée par un ressortissant de l’espace ou zone linguistique Lubaphone, la Présidence du Sénat était dirigée par un ressortissant de la zone ou de l’espace linguistique swahiliphone, la Présidence de l’Assemblée Nationale était dirigée par un ressortissant de la zone linguistique Kikongo, le Gouvernement de la République dirigé par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement était dirigé, encore une fois, par un ressortissant de la zone linguistique Swahiliphone. Concrètement, durant le premier mandat du Président de la République Démocratique du Congo, la zone ou l’espace linguistique swahiliphone avait occupé successivement deux postes clés de la République, à savoir la Présidence du Sénat et le Poste du Premier Ministre, la zone ou l’espace linguistique Kikongophone avait occupé un poste clé de la République à savoir : l’Assemblée Nationale, la zone ou l’espace linguistique Lubaphone avait occupé un seul poste stratégique à savoir la Présidence de la République Démocratique du Congo. Tandis que la zone ou l’espace linguistique Lingalaphone n’avait pas occupé une seule institution politique de la République et était complètement oubliée, discriminée, méprisée, ignorée, écartée et bannie de la gestion d’une Institution politique la plus en vue parmi les (4) quatre de la République Démocratique du Congo. Pour ne pas répéter les erreurs du passé, comme l’avait clairement indiqué le Président de la République Démocratique du Congo le Samedi le 20 Janvier 2024, lors de sa prestation de serment constitutionnel à la magistrature suprême devant la nation congolaise, il est souhaitable et que cette fois ici, durant son second mandat, cette erreur de discriminer la zone ou l’espace lingalaphone dans la gestion d’une Institution de la République soit rapidement soit corrigée et prenne définitivement fin. Il existe 4 zones ou espaces linguistiques en République Démocratique du Congo à savoir : la zone ou l’espace linguistique Tshiluba phone, la zone ou l’espace linguistique Kikongo phone, la zone ou l’espace linguistique Lingala phone et enfin la zone ou l’espace linguistique Swahili phone et il existe aussi 4 Institutions politiques les plus en vue en RDC à savoir : le Président de la République, le Gouvernement dirigé par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Président de l’Assemblée Nationale et le Président du Sénat que nous voulons bien voir chaque zone linguistique à travers son représentant occupe chacune de ses institutions politiques pour de raisons de la paix, de la cohésion nationale, de la sécurité et de la stabilité de la RD-Congo et pour éviter toute forme de discrimination, de frustration et créer de mécontentement populaire d’une zone ou espace linguistique qui, tout en se voyant écartée de la gestion de la République à travers la direction d’une Institution politique. C’est pourquoi, au vu de tout ce qui précède, nous demandons et recommandons au Chef de l’Etat Congolais et Garant du bon fonctionnement de toutes les Institutions politiques de la République conformément, à l’article 69 de la Constitution de la République Démocratique du Congo d’agir rapidement, en toute diligence et sans plus tarder afin de mettre fin à cette forme d’injustice, de mépris, de confusion et de bannissement total de la zone ou de l’espace linguistique lingalaphone dans la gestion d’une Institution politique parmi les (4) quatre les plus en vue en RDC et de faire de sorte que la Présidence du Senat durant son deuxième mandat revienne absolument et indiscutablement et incontestablement à la zone et l’espace linguistique lingalaphone, ce qui garantira en toute évidence la paix sociale, la cohésion nationale, la sécurité et la stabilité de la République Démocratique du Congo ainsi que de toutes ses Institutions Politiques durant son deuxième mandat.
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