Il est des événements qui incitent à réfléchir sur son passé. L’agitation de Vital Kamerhe pour le perchoir de l’Assemblée nationale procure matière à réflexion lorsqu’on sait que l’homme a été, dans un passé assez récent, directeur de cabinet du chef de l’Etat, au début de la mandature finissante.
Aux côtés du chef de l’Etat, le bilan de Kamerhe est catastrophique.
Dans la liste, on retient la kyrielle de morts, plus d’une vingtaine, des morts mystérieuses en série.
*Le chef de l’Etat avait perdu plusieurs de ses membres de famille et collaborateurs de première force. Un bruit aurait couru qu’il s’agissait des morts par empoisonnement.
Depuis le départ de VK de son fauteuil de Dircab, la mort qui hantait les allées de la Présidence de la République a été exorcisée.
Ce n’est pas tout.
VK est sorti de la Présidence de la République par la petite porte, avec ce qu’il convient d’appeler le Procès de 100 jours autour du projet présidentiel de construction des maisons préfabriquées, avec un détournement monstre de plusieurs millions de dollars américains qui n’ont jamais été remis dans les caisses de l’Etat.
La Présidence de la République, sous l’ère VK, place était aux réjouissances. Dans son bureau, on y trouvait tout ce qu’il faut mener la vie à la V.V.F (vins, voitures, femmes).
Chicha, liqueurs, vins ornaient le bureau de VK pour des moments de libation en compagnie de toutes les belles nanas des services attachés ont fait les frais.
C’est ce candidat président qui ambitionne d’occuper le strapontin de la représentation nationale. Et il croit confondre les époques, 2008 n’est pas égal 2024 ou 2028
Action News
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