En ce moment où les débats dans les salons huppés de la capitale tournent autour du réamenagement du gouvernement Suminwa au début de l’année prochaine, idée renforcée par la volonté exprimée par le chef de l’État Félix Tshisekedi et la première ministre Judith Suminwa, de soumettre les membres du gouvernement actuel à un exercice d’évaluation, des esprits se sont chauffés dans le cercle de ceux qui rêvent de se retrouver au gouvernement, même s’il faut marcher sur des principes du bon sens.
C’est dans cette perspective que le Directeur Général de l’ARSP est devenu l’homme à abattre en subissant des attaques de toutes parts, même celles en dessous de la ceinture, pourvu que son image de marque soit ternie. Que n’a-t-on pas entendu sur sa personne et son leadership à la tête de l’ARSP ? Tout et rien. Des histoires montées de toutes pièces. Des bobards distillés par ceux-là qui ont vu leur système de maintenir la sous-traitance sous éteignoir déboulonné par les méthodes révolutionnaires et innovantes introduites par Miguel Kashal dans le secteur de la sous-traitance où les Congolais ont été longtemps à l’écart, traités de sous-hommes presque. Aussi, de la part de ceux qui cherchent un éventuel positionnement dans le cadre de la prochaine mise en place des mandataires dans les entreprises publiques qui se profile à l’horizon ; avec l’avènement du gouvernement Suminwa. Et pourtant, c’est grâce à lui que l’ARSP est aujourd’hui opérationnelle et surtout il a mis fin à la fraude dans le secteur de la sous-traitance, où les sous-traitants congolais étaient absents.
La vraie raison de l’agitation…
Mais on ne le dira jamais assez, avec sa méthode de travail qui répond à la volonté du chef de l’Etat pour créer des millionnaires congolais, Miguel Kashal a tellement marqué positivement les esprits que des analystes pointilleux le voient déjà dans le prochain gouvernement réaménagé ou carrément à la tête de cet exécutif.
Et c’est cette lecture des faits qui met mal à l’aise les oiseaux de mauvaises augures et les pousse à s’agiter, mûs par l’instinct du “ôtes-toi de là que je m’y mette”. N’ayant pas réussi à infléchir le cours de choses, ces pourfendeurs de Miguel Kashal Katemb vont jusqu’à instrumentaliser les agents de l’ARSP en propageant des fausses accusations autour d’un supposé malaise qui aurait élu domicile au sein de l’ARSP. Ce qui procède tout simplement d’une guerre larvée qui serait menée contre Miguel Kashal, cet homme par qui sonne la résurrection de l’ARSP en RDC, selon plusieurs témoignages concordants. Si ses détracteurs passent du temps à imaginer des subterfuges pour le couler, Miguel Kashal de son côté multiplie des stratégies pour donner à la RDC plus de bénéficiaires de sa politique, dans la sous-traitance.
Nous y reviendrons…
Le Journal
