La violence, d’où qu’elle vienne ne peut être utilisée comme un moyen d’expression ou une revendication. Malheureusement, certains congolais vivant à l’étranger notamment en Europe utilisent la violence comme une expression de leurs revendications. Le président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), Christian Bosembe a été pris pour cible, le weekend dernier à Paris. Le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya, a haussé le ton contre cette agression.
Le président du CSAC a eu une des frayeurs de sa vie. En mission de service dans la capitale française, il a été victime d’une agression physique barbare. Ses agresseurs ont pris le soin de filmer son agression et la partager sur les réseaux sociaux.
Le ministre de la Communication et médias, Patrick Muyaya, condamne fermement cet acte.
Une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux met en scène l’agression du président du CSAC par des voyous à Paris.
En réaction, le porte-parole du gouvernement a assuré que Christian Bosembe est en sécurité et se porte bien après l’incident. Il a annoncé que les autorités congolaises travailleront avec les autorités françaises pour que les auteurs de cette agression soient poursuivis et punis par la justice.
« RDC : Je viens d’échanger avec @CBosembe le Président du @csac_rdc, plus de peur que mal. Je condamne fermement l’agression dont il a été victime. Avec les autorités françaises, nous allons travailler pour que justice soit faite. La violence n’a aucune place en démocratie », a tweeté Patrick Muyaya.
La rédaction de Le Journal joint sa voix à celle d’autres médias et des journalistes pour condamner fermement cette agression. Rien nr justifie et ne peut justifier un tel acte dans la capitale d’un pays qui se dit démocratique.
Le Journal