Depuis la Hongrie où il était en visite de travail, Félix Tshisekedi qui s’adressait à la diaspora congolaise de ce pays en donnant son point de sur la tenue d’un dialogue intercongolais que l’opposant Martin Fayulu appelle de tous ses voeux, remuant ciel et terre pour sa matérialisation. Pour preuve, sa récente tournée américaine avec des cadres de son parti politique ECIDé pour chercher à convaincre ses interlocuteurs sur la nécessité qu’il y a à ternir un dialogue pour faire avancer le pays dans la bonne direction, selon son entendement.
Félix Tshisekedi a fait savoir, sans mâcher ses mots, qu’une telle entreprise n’en est pas une dans la mesure où le pays ne connaît pas de crise politique. Mais toutefois, Tshisekedi a rassuré de sa disponibilité à tendre la main à quiconque veut le rencontrer pour parler au nom de l’intérêt national, toutefois dans le respect des textes qui régissent le pays.
« Je ne suis pas à l’origine d’une telle initiative ni ma famille politique. Car, le pays n’est pas en crise politique, pour aboutir à un dialogue qui va aboutir à des arrangements », a précisé le chef de l’État congolais en martelant : « Nous ne voyons pas la nécessité ni l’urgence. J’ai toujours eu les bras tendus pour parler avec quiconque. Ce débat ne concerne ni ma personne ni la famille politique qui est la nôtre. Il n’y a pas une telle initiative qui soit en chantier. Ceux qui parlent du dialogue peut-être c’est de leur volonté à parler avec nous ».
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