Pointé du doigt dans le dossier du policier Mboso: L’ex-ministre de l’intérieur Peter Kazadi fixe l’opinion et lave les mains !

L’équipe de communication de l’ancien vice-Premier ministre de l’Intérieur de la République démocratique du Congo, Peter Kazadi, a démenti, lundi dans un communiqué consulté par l’ACP, les accusations relayées contre lui sur les réseaux sociaux, insinuant qu’il aurait commissionné un individu n’ayant jamais appartenu à la Police nationale congolaise (PNC).
“Il est inexact et mensonger de prétendre que Peter Kazadi aurait inventé un policier (…) Junior Mbosso Kazadi est policier de carrière, régulièrement enrôlé dans les effectifs de la PNC depuis avril 2022 sous le matricule 1198716334958, avant d’être commissionné en 2023 conformément à la loi”, souligne le communiqué en rappelant que ce commissionnement dans lequel se retrouve ledit policier avait concerné un groupe d’officiers et avait suivi un processus collectif, validé par le vice-Premier ministre de l’époque, en stricte conformité avec les textes légaux et réglementaires régissant la Police nationale congolaise.
Face à cette campagne qualifiée de « désinformation », l’équipe de communication de Peter Kazadi a appelé les citoyens, les internautes et les médias à faire preuve de discernement et à ne pas se laisser manipuler par des contenus non vérifiés, soulignant que « la vérité reste la meilleure arme contre la rumeur ».
Elle a, en outre, annoncé l’introduction des démarches nécessaires auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), tout en se réservant le droit d’engager des actions judiciaires pour diffamation et propagation de fausses nouvelles.
Cette situation a été créée par une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, montrant cet officier de la police qui dénoncerait un dysfonctionnement de ce corps de métier.
Dans ce document, Junior Mbosso Kazadi a dit démissionner de son poste au sein de la Légion nationale d’intervention, tout en dénonçant l’implication de certains responsables de la police dans l’insécurité qui règne dans la capitale.
Le Journal
