Le 13 septembre 2022, les rideaux étaient tombé sur l’atélier de renforcement des capacités organisé par le Directeur Général de la SONAS, Lucien BONYEME EKOFO en faveur des agents et cadres de cette société, membres de la Cellule de Gestion des Projets et des Marchés Publics.
L’activité était organisée dans le but de pousser les bénéficiaires à veiller sur les méthodes favorisant la traçabilité des opérations qui s’effectuent dans ce vadre précis au niveau de la SONAS.
Pour maints observateurs, cet objectif poursuivi cadre bien avec la politique chère à l’Inspection Générale des Finances -IGF- qui ne cesse de prôner la transparence dans la gestion de la chose publique, synonyme de la mise à l’écart de l’amateurisme qui a souvent favorisé l’opacité dans la passation des marchés publics.
Le moins que l’on puisse dire, ce que l’atélier impulsé par le DG EKOFO pour mettre fin à la complaisance en matière de passation des marchés publics, cadre bien avec l’esprit et la lettre des lois np 10/010 du 27 avril 2010 et np 187016 du 09 juillet 2018 relatives aux contrats de partenariats Publics-Privés.
Et le numéro un de la SONAS est d’avis que chaque sous décaissé par l’entreprise pour exécuter un projet doit suivre les normes et principes de passation des marchés pour mettre fin à la complaisance en cette matière.
L’atélier ayant été animé par les formateurs de l’Autorité de Régulation des Marchés Publics -ARMP-, il va de soi que les bénéficiaires ont été édifiés suffisament sur le sujet lié à la passation des marchés publics, un levier d’optimisation des résultats d’une croissance économique inclusive.
Le Journal
