Le bureau Mboso gratuitement sali autour de supposés contrats avec les journalistes !

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Le ministre de la Communication et Médias Patrick Muyaya a beau clamer sa volonté de voir son secteur porter une nouvelle robe à travers le changement des habitudes par les professionnels des médias appelés à se débarasser de la vielle carapace encline aux anti valeurs, rien n’y fait.

Malgré l’organisation, début 2022, des Etats généraux de la Communication et Médias qui a mis un point d’honneur à réinviter les acteurs du secteur médiatique au bon sens et à l’appropriation des principes qui guident le métier de journaliste et assimilés, c’est comme si l’on avait prêché dans le désert.

Pour cause, sur le terrain, rien n’a changé au point de laisser croire qu’après les Etats généraux égal avant les Etats généraux. Comment ne pas le penser dès lors que des vielles et vilaines habitudes semblent avoir la peau dure.

L’on en veut pour preuve, des écrits gratuitement incendiaires débités dernièrement pour nuire au bureau de l’Assemblée nationale, lesquels donnant le Rapporteur pour un pic-sous des sommes d’argent débloqués mensuellement en faveur des journalistes accrédités auprès de la chambre basse du parlement. Ceux-ci ne verraient du feu en ne recevant rien. Cela est écrit dans un style qui n’a aucun égard pour cette institution de la République, mieux pour son bureau.

Refusant de laisser passer ce genre de mensonges sur fond d’accusation gratuite, la Cellule de communication de l’Assemblée Nationale a tenu à apporter la lumière à cette situation par une mise au point dont copie est parvenue à notre rédaction. En effet, par cette réaction, la Cellcom note réagir 

au sujet de l’article mensonger et diffamatoire publié le  mercredi 11 mai 2022, sous le titre: «Assemblées Nationale : des Faux contrats chez Mboso» qui accuse le «rapporteur Joseph Lembi pour une vaste “escroquerie et trahison», sans qu’aucun détail convainquant de la trahison et de l’escroquerie ne soit démontré. 

“L’opinion doit retenir que contrairement aux affirmations mensongères et diffamatoires contenues dans ce chiffon dénué du manque de professionnalisme et d’éthique professionnelle, le cabinet de l’honorable président, ni celui du rapporteur de l’Assemblée nationale, n’a aucune fois signé un contrat de partenariat donnant lieu à un quelconque paiement mensuel avec le média sus évoqué”, souligne la Cellcom qui note  pour permettre à tous les médias désireux de couvrir librement  les séances plénières de l’Assemblée nationale et pour des raisons sécuritaires ainsi qu’organisationnelles, une fiche d’identification donnant lieu à l’accréditation individuelle du journaliste a été rempli par les demandeurs. Et cette accréditation n’a aucune incidence financière. 

Pour clore, la Cellule de communication de l’Assemblée nationale dit mettre au défi ce média de publier le prétendu contrat de partenariat de paiement mensuel qui le lierait avec le bureau de l’Assemblée. Dans le cas contraire, le rapporteur de l’Assemblée nationale se réserve le droit de saisir les instances de régulation de la presse , à défaut de recourir à la justice pour rétablir son honneur et sa dignité auprès de l’opinion publique.

Le Journal