L’ADCN s’engage à offrir une majorité confortable à Félix Tshisekedi en 2023

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Retenez bien le nom de ce nouveau parti politique car, il va jouer un rôle de premier plan dans la bataille pour la réélection du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi Tshilombo en 2023. «Agir pour le Développement du Congo Nouveau», ADCN en sigle, est le nouveau parti politique qui vient d’être enregistré au ministère de l’Intérieur. Désormais légalement agréé, cette formation politique ayant pour président national, Adrien Bwa Gerengbo compte se positionner, dans un proche avenir, comme une véritable machine politique et rafler des sièges à tous les niveaux en vue d’offrir une majorité confortable au Président de la République.

A l’instar de tout parti politique digne de ce nom, l’ADCN nourrit l’ambition d’accéder au pouvoir étatique par la voie démocratique en vue de transformer les difficultés sociales congolaises en opportunités et en richesses. Pour ce faire, cette formation politique se prépare politiquement, stratégiquement et financièrement pour affronter les prochaines joutes électorales avec conviction, détermination et précision.

D’ ores et déjà, elle s’inscrit dans la logique de soutenir la candidature de Félix Tshisekedi à la magistrature pour, disent ses animateurs, «l’aider à obtenir un second mandat présidentiel pour achever son programme et sa vision».
Conscient des enjeux et des défis à relever, l’ADCN a mis en place un véritable laboratoire d’analyses politiques composé des experts de différents domaines, amenant chacun de l’expertise et une base à même d’offrir à Fatshi une majorité à tous les niveaux.

Devenir la deuxième force politique
Ainsi, Agir pour le Développement du Congo Nouveau se prépare sérieusement pour avoir des candidats capables de rafler des sièges aux législatives nationales, aux élections de sénateurs, à la députation provinciale, aux élections des gouverneurs et jusqu’aux élections municipales et locales.

Visant très haut, ce nouveau né se donne pour objectif de devenir la deuxième force de la prochaine majorité présidentielle. Bon, il n’est pas interdit de rêver grand surtout si on travaille dur pour y arriver.

Le Journal