La société civile urbaine de Bukavu dénonce la méchanceté de Jackson Kalimba à l’égard du Gouverneur Théo Ngwabidje

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La société civile urbaine de Bukavu n’est ni de près ni de loin liée aux propos tenus par le Président de la société civile du Sud-Kivu,  Jackson Kalimba,  contre le Gouverneur de province.  Dans  une mise au point, le Coordonnateur  de la SCBG a dénoncé une démarche cavalière  et appelé les acteurs de la société civile à se désolidariser de cet électron libre.

La société civile urbaine de Bukavu (SCBK) invite l’ensemble de la population du Sud-Kivu à garder sa confiance au Gouverneur de province, Théo Ngwabidje Kasi dont elle salue les efforts pour la paix et l’émergence de la province.

Contrairement aux allégations de Jackson Kalimba, la coordination de la SCBG décourage tout comportement à se victimiser après avoir commis des forfaits. Elle considère cette façon de se comporter comme une stratégie visant à se remplir les poches avec des gains malhonnêtes au lieu de chercher l’intérêt commun.

Pour le Coordonnateur de la SCBG, la franche collaboration entre le pouvoir exécutif et l’assemblée provinciale est un gage de paix pour la province.

A cet égard, la société civile urbaine de Bukavu félicite et encourage les députés provinciaux «qui ont compris le sens d’une bonne collaboration entre l’Assemblée provinciale et le gouvernement provincial et promet de soutenir jusqu’au bout les bonnes œuvres de l’autorité provinciale». 

Elle met par ailleurs en garde, «tous les semeurs des troubles au Sud-Kivu, une province qui aspire déjà à la paix et au développement durable».

Dans cette mise au point, le Coordonnateur de la SCBG, Colbert Munguakonkwa Rwakana a sollicité l’implication des autorités traditionnelles de la province pour empêcher aux pêcheurs en eaux troubles de perturber le bon fonctionnement de la province.

«La SCBG appellent tous les notables épris de paix, à soutenir l’autorité provinciale et barrer la route aux ennemis de la paix car les Sud Kivutiens sont fatigués à vivre le calvaire et veulent voir leur province se développer comme tant d’autres», a-t-il conclu.

Le Journal