Face à l’intox sur le chef de l’Etat Félix Tshisekedi…: Christian Tshiwewe fixe l’opinion !

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La capitale RD-congolaise, Kinshasa,a été nourrie au cours des derniers jours, par la desinformation sur le chef de l’Etat Félix Tshisekedi dont on disait avoir sorti du pays, sans que nul ne sache sa destination.

Pour lever toute équivoque, et apaiser les esprits, le général Christian Tshiwewe, le chef d’état-major des FARDC a été face aux militaires et policiers dans une parade au camp Kokoli où il a confié que le commandant suprême est à Kinshasa. “Il devait être là pour assister à cette parade, mais il m’a instruit de venir vous parler et vous a transmis ses salutations”, a introduit le chef d’état-major avant de détailler les cinq points de sa communication, notamment le rappel des missions de la Police et Armée.
« Notre pays est en guerre, une guerre injuste nous imposée », a rappellé le Général Christian Tshiwewe.en conseillant aux hommes des troupes d’être dans la posture des combats, pas de distraction. « Notre commandant suprême s’appelle Félix Tshisekedi. Notre maman, c’est la RDC », a dit le chef d’état-major en soulignant qu’il ne faut jamais rejoindre la rébellion, au risque de mourrir là-bas.
“Notre devise : c’est ne jamais trahir le Congo”, a fait savoir le Général Tshiwewe en indiquant que les militaires et les policiers n’ont aucun intérêt à collaborer avec l’ennemi.
« Parmi vous, il y en a qui sont corrompus, alors que nous sommes en guerre », a-t-il accusé en révélant que les hommes politiques instrumentalisent les militaires et les policiers. D’où, il a demandé aux officiers, s’ils sont mariés et père des enfants, peuvent-ils accepter d’être appellés rebelles ?
“Même la personne qui vous corrompt sait que vous êtes traître”.
Sur un ton décisif, Christian Tshiwewe a martélé : “on va se battre jusqu’à la dernière goutte du sang. Vous ne nous ferez pas peur”

“Vous êtes rebelle, est-ce que je suis fou ou malade pour que je continue à surveiller ta maison et tes enfants ici à Kinshasa, à Gombe?”, a-t-il demandé.

Le Journal