dans sa réunion du 15/04/2025 du comité de la politique monétaire: Non à la politique monétaire du gouverneure Malangu Kabedi de la BCC

La Banque centrale du Congo, dans sa réunion du 15/04/2025, maintient son taux directeur de 25 %, le comité de la politique monétaire, n’arrive plus à faire un bon usage de son objectif principal pour donner un élan de la croissance dans l’économie nationale.
La Banque centrale du Congo, en 2023, a augmenté de 14 points de base, à hauteur de 25 % le taux directeur, suite à la hausse de la masse monétaire par la BCC et du Trésor, causant une inflation voulue localement ( Kinshasa ), durant la Francophonie. Lors de la période de Francophonie, il y n’a pas eu une forte inflation. Les Banquiers de la centrale du Congo ont confondu une une inflation à courte terme transitoire à une inflation longue.
Deux années plus tard ( 2025 ), la BCC, ainsi que le Ministre de l’Economie confirme une baisse d’inflation de 11 points de base à 10,1 % ( 21,7 % à 10,1% ). Je me demande, cette inflation elle – est imaginaire, ou bien le comité de la politique monétaire ( CPM ) se trompe chaque fois. En plus le maintient du taux directeur à 25 %, reste symbolique, car le minute ( réunion ) de la BCC ( CPM ), n’impact pas la politique macroprudentielle, encore moins la politique macroéconomique dans l’ensemble. Par la je confirme les informations informations contraires de la réalité eco et financière de nos banquiers qui savent que, le crédit bancaire pour les entreprises en RDC, en Franc congolais reste un slogan mais pas dans la réalité, mais le crédit s’obtient généralement en dollar ce qui déprécie le franc congolais dans l’ensemble de l’économie.
Malgré les statistiques de la Banque centrale du Congo et le Gouvernement dans l’ensemble, le CPM, n’oriente pas un plan de croissance jusqu’à présente. Comment doit – être cette croissance en 2025 jusqu’à la fin de l’année sans réforme macroéconomique et microéconomique. Nous avons une croissance économique fragile, sans sous-jacente de la relance en période tumultueuse de l’instabilité politique ( guerre à Est ), qui impacterait négativement la stabilité économique et financière.
En maintenant le taux directeur de 25 %, le comité de la politique monétaire de la BCC, cadre pas une bonne politique de ruissellement financier dans sa politique monétaire avec une orientation précise, mais répétant dans chaque réunion les imprécisions revendications dans la politique monétaire et macroéconomique.
Quand la BCC, dans sa réunion du 15/04/2025, les membres du CPM, ils confirment de l’impact négatif de notre économie par rapport à la guerre à l’Est du pays. La BCC, ainsi que le Trésor ( Ministère des finances et autres ), devaient mettre en place un nouvel modèle d’économie de guerre pour faire face aux fluctuations négatives dans nos finances, d’investissement, d’emploi, pour une économie résiliante. Au lieu de nous faire attendre les discours sans solution de la relance économique.
La BCC, elle se cantonne chaque fois à la guerre Russe / Ukraine, les effets économiques et financiers de cette guerre reste dernière nous. Plusieurs pays ont apporté des corrections résiliantes par rapport aux effets négatifs de cette guerre. Par contre notre Banque centrale et le Gouvernement, seraient toujours dans l’émotion de cette guerre en multiplication des incertitudes économiques nos conformes à la réalité économique mondiale actuelle.
En parlant du cadre macroéconomique par la BCC, dans sa réunion du 15/04/2025, la jouissance du comité de politique monétaire et du Ministre de l’économie ( dans son point de presse ), n’ont pas démontrer comment au courant des années 2023/2024 et premier trimestre ( T1 ), 2025, les améliorations macroéconomique et microéconomique en 2025, qui apporterait la croissance du PIB, chômage, taux de participation, crédits aux entreprises aux investissements, inflations Core. Mais nous assistons aux mesurettes du Ministre de l’économie, par rapport aux ménagères sans impact dans l’ensemble de l’économie nationale, ni effet multiplicateur pour le rentabilité et croissance du PIB, aucune impulsion pour soutenir les salariés pauvres.
Jusqu’alors aucune information du Ministère de l’économie et de la Banque centrale du Congo de la promesse du gouvernement, de la création de plus 6,5 Millions d’emplois en 4 ans, sans démontrer le mode de financement.
En ce qui concerne l’inflation, la BCC, doit avoir un baromètre pour fixer le seuil de l’inflation durant chaque trimestre et des chômages dans l’ensemble du pays. Pour faire les points aux statistiques si cette inflation est sur le salaire, coûts, demande ou sur l’offre, afin de se définir sur la hausse ou baisse du taux directeur. Sans une bonne appréciation monétaire du Franc congolais, dans le multiplicateur monétaire en monnaie nationale dans le marché de crédits, la baisse ou hausse du taux directeur de la BCC, resterait sans influence dans la politique des agrégats monétaires.
Dans cet optique de la guerre à l’Est avec le Rwanda, le Trésor n’a pas proposé aucune politique économique d’Expansion pour soutenir les entreprises et les ménages, pendant cette période de guerre à l’Est, ainsi que de la guerre économique USA, avec le reste du monde. Comment inciter les entreprises à investir, à la création d’emploi, en application d’une bonne politique macrosécuritaire, macroéconomique et microéconomique, du Gouvernement pour garantir une bonne croissance organique résiliante.
La RDC, n’a pas eu une forte inflation dans le passé, ni maintenant entre 2022/2023/2024. La BCC, le Trésor, le Ministre de l’économie, le comité économique national, tous con- fondent. En RDC, nous avons : LE CHOC DE PRIX À LA CONSOMMATION, suite à la non production locale, mais aux importations importante, qui est flexible, transitoire selon les périodes pas constant. LE CHOC DE DEMANDE NÉGATIF À LA CONSOMMATION, dans nôtre économie serait aussi suite aux salaires insignifiants.
Pour notre monnaie nationale le Franc congolais, quand la BCC, dans sa réunion du CPM, du 15/04/2025, insiste de la stabilité de l’actif liquide nationale, le Franc congolais. Cette stabilité est plus aux institutions de l’Etat, aux politiques, hauts fonctionnaires et non aux paniers des ménagères. Une grande partie de cette stabilité provient des faibles croissance macroéconomique et microéconomique de l’attractivité économique. L’ancrage de la monnaie nationale avec le dollar, la politique monétaire d’une DUALISME MONÉTAIRE, qui régule la tension monétaire dans notre politique macroprudentielle.
Le dollar américain s’est déprécié à 8 % par rapport à plusieurs devises, durant cette période de la guerre commerciale USA, de droit des douanes. Les taux de d’intérêts en franc congolais est fixé en fonction de dollar suite à son ancrage permanent. La dépréciation actuelle de dollar, la BCC, durant sa réunion de comité de la politique monétaire ( CPM ), aurait plus réduire son taux directeur de 7 points de base ( 25 % à 18 % ), pour soutenir l’économie congolaise dans le marché de crédit et faire l’apprécia du franc congolais par rapport au dollar.
Notre réserve de change de 6,7 Milliards de dollars, subirait une fluctuation négative sur les importations et, une dépréciation de prix des matières premières à l’exportations ( euros, Yuan, Franc Suisse….), que ferait la Banque centrale suite à cette incertitude monétaire des taux de changes ? La dernière réunion de la BCC du 15/04/2025, aucune mesure efficace du CPM, pour contrer cette spirale monétaire du dollar par rapport aux taux d’intérêts ? Alors avec notre réserve de change de 6,7 Milliards de dollar ( $ ), nous aurons les effets négatifs dans les réserves de changes, si la BCC, ne pratique pas l’allocation d’actifs monétaires des devises ( $, Fr Suisse, Euro, Yuan, Or, Franc congolais…), pour faire face aux fluctuations négatives du dollar, dans notre régime de change flexible.
L’appréciation contenue de la monnaie nationale selon la BCC, dans sa minute du 15/04/2025 à 0,6 %, selon le CPM, auprès des ménages. Les ménages congolais perdraient 0,5 % mensuellement de la dépréciation du pouvoirs d’achats, suite à la non augmentation pour le petit salaires, faible pouvoirs d’achats, la non indépendante de la BCC, Instabilité financière de la monnaie nationale, suite à la corruption, mauvaise gouvernance, pas de modèle de modèle économique, justice à 2 vitesses, pas de mutualisation de l’économie, régime de change flexible non conforme à la réalité économique actuelle.
La gestion rigoureuse de liquidité, le renforcement de la coordination, selon la BCC, dans sa réunion du 15/04/2025, pour l’année 2024. La gestion rigoureuse du Ministère des finances, serait soutenue par les dettes publiques, non par la croissance de l’économie résiliante dans l’ensemble. Le Trésor ( Ministère des Finances ), accumulant durant en 2024, plus de 1,4 Milliard de dollar ( $ ), en monétisation de la dette au marché ( SVT ), avec un remboursement de 600 Millions de dollar ( $ ) d’intérêts aux détenteurs des bons et obligations d’Etat. Comment la BCC, nous parle d’une bonne gestion, nous savons tous, la hausse du dépassement budgétaire en 2022 / 2023 / 2024 et ( T1 ) 2025. La dette intérieure et internationale est en augmentation, suite à la mauvaise politique << POLICY – MIX >> ( politique budgétaire et monétaire ). Une forte dépréciation de la monnaie nationale de 30 %, provient de l’inflation structurelle de l’actif réel sur l’immobilier, que la Banque centrale du Congo et le comité de politique monétaire ignorent depuis.
Le non paiement de la dette intérieure par l’Etat freine les investissements pour l’émergence des entreprises locales. Pour la relance économique résiliante en période de guerre en 2025, il faut que la BCC, en accord avec le Trésor, doivent favoriser un plan de financement pour la création des nouvelles entreprises localement avec des capitaux congolais pour des congolais ( laboratoires pharmaceutiques, banques aux capitaux Congo, usines des productions locales, économie de services…… ), formations de masses, expertises.
L’Etat congolais doit se financer en endogène pour garantir les investissements des entreprises auprès de la BCC, à hauteur de 2 Milliards de dollar de ( $ ), par la monétisation de la dette auprès de la Banque centrale du Congo, à un taux inférieur pour financer les nouvelles entreprises. Prenons l’exemple de Dubai, ils n’ont pas le pétrole, mais ils ont en place une économie des consommations prospère.
Notre gouvernement congolais doit avoir un plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises, doit donner aux entreprises les moyens d’innover de se transformer, de grandir et de créer des emplois. L’économie au développement ne peut pas se résumer à << L’ÉGALITÉ >>, pour tous, plus tôt à << L’ÉQUITÉ >>, que le rapport opposé à << L’ÉGALITÉ >> pour tous. L’Egalité, c’était mauvais pour le développement, une pulsion archaïque qui pousserait les congolais à demander << toujours >> et à, râler, manifester, couper la tête des dirigeants.
Par contre l’Equité se présente comme un principe novateur, importé des États Unis, donc forcément moderne, presque chic, sera désormais considéré comme << ÉQUITABLE >> le fait qu’un riche s’enrichisse, puisque l’on postulera que la communauté tout entière en profite, y compris les plus pauvres. C’est la théorie de l’équité peut – être contestable, contestée aussi, en parlant d’inégalités justifiées. En déformant la pensée, des économistes favorables à la dérégulation.
La réduction des droits des douanes à l’importation de 15 % de tout les produits entrant en RDC et, la réduction de l’impôt sur les sociétés à 17 %. Cette réforme donnerait une bonne pulsion à la création d’emplois, pouvoirs d’achats, investissements, des incitations aux d’entreprises de payer d’impôt régulièrement, réduction de la fraude fiscale.
L’ÉQUITÉ n’a jamais opposé L’ÉGALITÉ, au contraire, les deux vont de pair.
La liberté égale de chacun, qui implique une égalité minimale des conditions de vie maternelles. Pour ou contre les inégalités est méprisable individus et leur rendent impossible l’exercice de leur libre. Les inégalités n’est pas un poison délétère.
ALS FINANCES CIF
AIME LAMBALA
CEO
EXPERT EN HAUTES FINANCES,
MACROECONOMISTE, MONÉTARISTE,
MARCHÉS FINANCIERS