Christian Bosembe victime d’une cabale éhontée !

Un câble parvenue à notre rédaction souligne avec regret, que dans un climat politique congolais de plus en plus polarisé, certains médias semblent avoir délaissé leur rôle d’information objective pour se transformer en relais d’attaques personnelles et de campagnes de déstabilisation.
Et de citer la cabale médiatique qui est présentement menée contre Christian Bosembe, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication -CSAC- qui illustre parfaitement bien ce derapage. “Plutôt que de questionner son bilan ou ses actions de manière constructive, une frange de la presse, visiblement inféodée à des intérêts partisans, s’est engagée dans une entreprise de diffamation et de discrédit constate le collectif d’analystes polyvalents”, se plaint le signataire du câble en constatant qu’il est question d’un journalisme sous influence, celui qui se positionne entre activisme et instrumentalisation
Il est inquiétant de constater que certains journalistes congolais, au lieu d’exercer leur métier avec éthique et neutralité, se muent en activistes politiques, peut-on lire dans ce câble qui s’interroge sur les objectifs poursuivis par ces opérateurs des médias qui ne font que servir les agendas de certains partis ou personnalités en mal de pouvoir.
Ils sont prêts à sacrifier la déontologie journalistique sur l’autel des ambitions individuelles. Christian Bosembe, figure intègre et travailleur infatigable au service de la Nation, en fait aujourd’hui les frais, souligne le câble en notant que les accusations portées contre Bosembe relèvent moins d’une démarche investigative que d’une volonté délibérée de nuire.
“Des articles teintés de partialité, des insinuations malveillantes et des accusations non étayées fleurissent, sans que ne soit jamais pris en compte son engagement réel pour l’institution qu’il dirige. Une telle dérive interroge : où est passée la presse censée informer, et non manipuler l’opinion ?”, se demande l’auteur du câble non sans avoir parlé de la nécessité d’une réforme du secteur médiatique. Car, enchaîne ce câble , face à ces dérives, il est urgent que le gouvernement congolais renforce le cadre légal encadrant l’exercice du journalisme. La profession ne peut continuer à être gangrenée par des individus qui, sous couvert de liberté de la presse, se livrent à des campagnes de calomnie. Le quatrième pouvoir doit être un pilier de la démocratie, non un outil de règlements de comptes politiques.
Quand le câble relève que Christian Bosembe, comme tout responsable public, est redevable de ses actions devant le peuple. Mais cette redevabilité doit s’exercer dans le respect des faits et de la présomption d’innocence. Or, aujourd’hui, ce sont des procès médiatiques, sans preuves tangibles, qui tentent de dicter sa destitution. Une telle pratique est dangereuse pour la stabilité des institutions, tout est dit. Et bien dit.
Surtout qu’en lançant un appel à la raison et à l’objectivité, le câble rappelle qu’il est temps que la presse congolaise retrouve sa vocation première : informer avec rigueur, sans se faire l’écho de luttes politiciennes. Les attaques personnelles contre Christian Bosembe, souvent orchestrées depuis l’ombre par des détracteurs avides de sa position, n’honorent pas le journalisme.
La RDC a besoin d’une presse libre, peut-on lire, mais responsable, une presse qui, plutôt que de servir des intérêts étroits, œuvre pour l’intérêt général. Christian Bosembe mérite mieux que ces campagnes de dénigrement : il mérite un débat transparent et fondé sur des réalités, non sur des fantasmes politisés estime le Collectif d’Analystes polyvalents, conclut ce plaidoyer qui a tout pour interpeller ceux qui s’évertuent à chercher des poux sur la tête, dans le but de servir leurs égos dans le but de voir Bosembe leur laisser la présidence du CSAC.
Le Journal
