Le deuxième Vice-président du Sénat, Sanguma Temongombe Mossai, a pris en charge les frais des travaux de réhabilitation d’une des artères les plus fréquentées de la ville de Gemena. Il a répondu favorablement aux cris de détresse des habitats du chef-lieu de la province du Sud-Ubangi..
Ce geste fort a été porté par «Action Sanguma», une structure qui soutient les actions du 2 ème Vice-président du Sénat, et oeuvre dans plusieurs domaines notamment, la formation des jeunes et des femmes dans différents métiers dont l’informatique, la coupe et couture, l’auto école et le gardiennage.
D’après Jérémie Bego, président provincial de cette structure au Sud-Ubangi, l’Office des Routes a été sollicité pour son expertise afin de réhabiliter la route concernée, qui se trouvait dans un état de délabrement très avancé au secteur de Nguya.
« Cette route était vraiment coupée. Mais grâce à ces travaux financés par le sénateur Sanguma Temongonde Mossai, digne fils du Sud-Ubangi, elle est de nouveau praticable. Nous remercions très sincèrement le deuxième vice-président du Sénat pour ce geste de solidarité. Nous lui promettons tout notre soutien. C’est un ouf de soulagement, ça va permettre d’éviter les cas d’accidents longtemps décriés ici à cause de la dégradation de cette route », a-t-il expliqué à nos confrères de 7SUR7.CD.
Le président provincial de «Action Sanguma» a tenu à préciser que les travaux d’entretien de cette route, sur son tronçon de 3 kilomètres situé entre Magasin et Bokonzo, ont été financés totalement par le sénateur Sanguma Temongombe Mossai.
« Ces travaux d’entretien routier sont entièrement financés par le deuxième vice-président du Sénat, le professeur docteur Sanguma Temongonde Mossai. Nous demandons à d’autres élus tant provinciaux que nationaux du Sud-Ubangi d’emboîter les pas du Sénateur Sanguma pour se lancer dans la réhabilitation ou encore l’entretien des artères de la ville de Gemena qui sont très délabrées. Si nous n’attendons que le gouvernement sans rien faire la situation va toujours s’empirer. Nous avons nos matériels qui nous permettent d’entretenir nos routes par cantonnage manuel. C’est le sénateur Sanguma qui nous avait doté de ces outils», a renchéri Jérémie Bego.
Le Journal