Le Ministre d’État à l’Aménagement du territoire, Guy Loando Mboyo, est devenu la cible des attaques de toutes sortes. Il fait l’objet d’intoxications et diffamations de la part d’un réseau des personnes mal intentionnées non encore autrement identifiées. Pour stopper cette avalanche d’attaques, le parti politique dénommé « Agissons pour la République (AREP) a saisi le Parquet Général de Kinshasa-Gombe.
La plainte a été déposée auprès de cette instance judiciaire, jeudi 29 septembre 2022.
L’AREP dénonce à travers cette initiative, les attaques médiatiques basées selon lui, sur des mensonges, désinformation, intoxication et diffamation visant son initiateur, Me Guy Loando Mboyo.
« Il faut noter que cette initiative judiciaire intervient après une unième publication mensongère et toxique diffusée essentiellement via les réseaux sociaux, laquelle s’efforce désespérément et maladroitement de faire passer le Ministre d’Etat Guy Loando Mboyo pour un ennemi de la République, alors que l’opinion publique nationale est unanime sur le caractère indéfectible de l’engagement patriotique et la loyauté de celui dont les œuvres philanthropiques ont marqué la conscience collective du peuple congolais de souvenirs indélébiles à travers la Fondation Widal, bien avant son entrée au Gouvernement des Warriors, tel que décidé souverainement par Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République et Chef de l’État », renseigne une source bien renseignée.
Elle espère que, conformément aux principes de l’État de droit prôné à juste titre par le Magistrat Suprême, la balle est dans le camps de la justice à qui revient la tâche d’instruire le dossier ouvert suite à la plainte du Parti Agissons pour la République, afin d’interpeller les auteurs directs et indirects ainsi que leurs complices, qui espèrent lâchement se cacher derrière l’anonymat des réseaux sociaux, après avoir commis ces actes de sabotage dont ils n’ont pas le courage d’assumer les écrits mécréants.
Sans doute qu’une fois jugés par la justice et fixés sur leur sort, les auteurs de ces mensonges changeront de comportement.
Le Journal