L’Intersyndical de la Rtnc cherche des poux sur la tête de Patrick Muyaya !
Au lendemain de la publication de notre article intitulé “Le nouveau narratif cher à Patrick Muyaya se porte bien”, les ennemis du ministre de la Communication et Médias tapis dans l’ombre, s’activent et ont mis en scène leurs marionnettes nommées Intersyndicale de la RTNC pour saper l’action du patron du secteur de la Communication et Médias.
Selon notre confrère en ligne Edito 7 qui livre cette information, l’Intersyndicale de la RTNC, oubliant ou semblant oublier que ce média public est la propriété de l’Etat Congolais qui paie mensuellement les salaires des agents et cadres et le subventionne à 100%, a entrepris une inutile campagne de sape contre l’Employeur-Etat. Pourtant, selon les rétombées de la réforme des entreprises publiques initiée en son temps par le Copirep, la RTNC est la seule entreprise de l’Etat à bénéficier de tels avantages en étant presque l’enfant gâté de son père. Mais vouloir s’ériger en obstacle contre la production des émissions du Briefing et la Redevabilité de l’action gouvernementale initiées par la tutelle sur recommandation du Premier ministre pour rendre compte du bilan réalisé par le gouvernement des Warriors en une année cache mal l’intention manifeste qui anime l’Intersyndicale de la chaîne publique qui a choisi d’aller en guerre ouverte contre le ministre de tutelle, pour de raisons inavouées. C’est à un tel jeu dangereux que se livre l’Intersyndicale de la RTNC, pour saper l’action gouvernementale en s’attaquant frontalement au ministre de tutelle en l’accusant faussement d’avoir bloqué 80% du programme de la chaîne publique et neutralisé le fonctionnement de la salle Maman Angebi le 17 mai dernier. Faux, réplique des sources du ministère de tutelle, au point de faire dire aux observateurs intéressés, que l’Intersyndicale est un agrégat manipulé et corrompu qui ne manoeuvre d’habitude que pour la déstabilisation des comités de gestion qui se succèdent à la tête de la RTNC. Mais l’Intersyndicale s’organise actuellement à saper l’image du président de la République et du Premier ministre, en crachant sur le devoir de Redevabilité qui est un ensemble d’informations liées au bilan de l’action gouvernementale. Bref, “il s’agit d’une présentation qui démontre la positivité de l’action du chef de l’Etat aux attentes du peuple”, soutient-on au ministère de la Communication et Médias où l’on considère que la démarche de l’Intersyndicale de la RTNC serait une volonté manifeste et délibérée de vouloir créér une rébellion contre le ministre de tutelle et saboter l’action du gouvernement. En un mot, comme en plusieurs, le changement de narratif impulsé par le ministre Patrick Muyaya dérange les empêcheurs de tourner en rond, tout en suiscitant de la jalousie gratuite dans l’espace politique. Pourtant, le Briefing est une innovation du gouvernement des Warriors et un espace de redevabilité où tous les membres du gouvernement passent pour présenter à la population le bilan d’une année de travail. Tout le contraire de ce qui était fait auparavant. Dès lors, l’activisme outré de l’Intersyndicale de la RTNC laisse pantois des analystes qui s’en étonnent dès lors que c’est la toute première que cette structure dépasse la ligne rouge en voulant empêcher à l’Etat-propriétaire de communiquer à travers ce média public, son propre canal ad hoc, en se cachant derrière de subterfuges facilement démontables.
Les agitateurs de l’Intersyndicale font fausse route en n’oubliant que le devoir de Redevabilité auxquel ils s’attaquent n’est pas seulement concocté par des élements extérieurs à la RTNC comme ils veulent le faire croire. Mais ce programme est produit avec 6 journalistes venant d’autres médias et 33 agents et techniciens de la chaîne publique ainsi que 6 Directeurs, tous pris en charge par le ministère de tutelle et bénéficiant d’une prime à chaque production. Affirmer le contraire étale au grand jour, la pleine mesure de l’intention de nuire qui habite les acteurs de l’Intersyndicale visiblement nourris à la mamelle des fauteurs en eau trouble qui ne jurent que par la réalisation de leurs funestes Mais les chiens peuvent aboyer, la caravane changement de narratif passera son chemin, dit l’adage. Pour les compatriotes animés de bonnes intentions, le concept du nouveau narratif peut être combattu, mais jamais il sera abattu. Car existant pour propager la bonne information et servir le peuple d’une manière saine et en temps réel.
Le Journal
