Dimanche 27 octobre 2024, à la faveur de la seconde conférence annuelle des plénières des femmes à Kinshasa, la femme a été invitée à prendre conscience de ses potentiels et connaissances pour s’assumer dans la société.
A cet effet, Caroline Pindi, coordonnatrice de l’Asbl Mille et un Espoir a eu des mots justes : « Avec la société civile, nous venons conscientiser des femmes, car elle est une force endormie qui s’ignore. Il faut la booster et la sensibiliser pour qu’elle reprenne sa place dans la société, celle du pouvoir », avant de renchérir que grâce à un encadrement, la femme va y arriver, car elle représente le pouvoir et l’homme l’autorité. Il faut continuer le travail de sensibilisation pour obtenir des résultats.
Caroline Pindi reste d’avis que la femme a été victime d’un conditionnement qui s’est installé depuis plusieurs années et plusieurs générations et qu’il est difficile d’essayer de casser ce conditionnement, mais ceci est faisable par la continuité du travail de la sensibilisation. « Les femmes doivent avoir la révolte intérieur pour se démarquer. Elles doivent se sentir bien pour mieux s’épanouir dans la vie quotidienne », a confié cette brave dame en soulignant que cette activité a été axée sur le thème : « L’autonomisation de la femme face à la dépravation des mœurs, défis à relever et pistes de solutions».
Le Journal