Le président de l’Alliance des démocrates humanistes (ADH) a démontré qu’il aura un mot à dire lors de l’élection présidentielle du 20 décembre prochain à laquelle il est candidat. Après avoir déposé sa candidature au Bureau de réception et de traitement des candidatures (BRTC), le 8 octobre dernier au siège de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), il s’est envolé vers son fief naturel de Mbandaka. Le temps s’est arrêté pour saluer l’arrivée du fils du terroir.
C’est dans la peau de digne fils du Grand Équateur que Jean-Claude Baende est arrivé dans le chef-lieu de la province de l’Equateur. Il a eu droit à un accueil princier. Les habitants de Mbandaka de tous âges, honorés de voir l’un de leurs fils acter sa candidature à la magistrature suprême pour les représenter, se sont mobilisés massivement pour lui témoigner leur soutien.
Et, ils l’ont fait de la meilleure des manières car, des personnes de tous âges ont répondu présent, paralysant la ville durant toute la journée.
Député national et ancien gouverneur de l’Equateur dans son ancienne configuration, Jean-Claude Baende sait ce qu’il faut faire pour faire décoller le grand Congo.
Lors du dépôt de sa candidature à l’élection présidentielle, il a affirmé qu’en tant qu’ancien gouverneur d’une grande province, il a vu la situation que vit la population congolaise pour avoir parcouru le pays.
« Il faut retenir que être gouverneur dans ses fonctions, il a une image complète du pays, surtout un gouverneur qui a fait l’itinerance comme moi, je suis allé dans les quatre coins de la grande province de l’Équateur, et j’ai vu la situation que vive notre population et j’ai compris qu’il y’a lieu d’intervenir rapidement », avait déclaré Jean-claude Baende.
Dans un contexte où une partie de la RDC est occupée par les terroristes du M23 supplétifs de l’armée rwandaise, il s’engage à aider le pays à retrouver son intégrité territoriale et restaurer la dignité du congolais.
Pour réaliser cet ambitieux projet, il va compter sur son parti politique, une véritable machine politique dont les animateurs sont motivés.
Le Journal
