Dans un élan d’indignation et de colère face à ce qu’ils appellent la persistance d’une culture de bassesse et de caniveau que certains politiques usent au moment de grands enjeux, les concernés ont été exprimer leur ras-le-bol dans une rédaction de Kinshasa en lançant un ultimatum à ceux qui se cachent dans l’ombre et font de Vital Kamerhe leur cible privilégiée. S’époumonant à chercher à détruire l’image de Vital Kamerhe et de s’attaquer à la machine politique qu’est l’Union pour la nation congolaise depuis son avènement sur la scène politique en 2010, s’insurgent les fidèles kamerhistes auprès de notre confrère qui témoigne qu’après
avoir fait pression sur certains cadres en les nourrissant à l’arbre des mensonges, ils ont pensé que leur départ allait briser l’UNC. Le parti se débarrassant des traîtres, a continué à fasciner des millions des jeunes qui en ont fait une véritable école politique avec celui que ses admirateurs appellent affectueusement VK. Ils sont décidés cette fois-ci de rendre coup pour coup et de ne plus permettre à quiconque de blesser leur sentiment politique. Venus voir la presse, ils ont promis que dans quelques jours, ils vont organiser une série des communications pour citer tous les complotistes qui se sont donnés comme projet de société la mort de l’UNC.
Ils exigent que le combat politique se fasse à la loyale si jamais, et il ne peut être légitime que s’il est un combat des idées, un combat sur les principes démocratiques. Mais quand la jalousie politique, le manque de civisme d’État poussent certains à quitter la sphère politique pour aller naviguer dans les sphères privées, ceci indique bien la qualité des commanditaires. Les jeunes disent monter en puissance pour prendre l’élan et se déverser sur ces faux politiciens qui en réalité sont des mercenaires idéologiques, note le confrère.
Le Journal